samedi 17 octobre 2009

Albert Einstein est un raciste ... et Le Monde et Florent Petitpas font son apologie !


"L'introduction du service militaire obligatoire, voilà la principale cause, à mon sens, de la décadence morale de la race blanche. Ainsi se pose déjà la question de la survie de notre civilisation et même de notre vie ! Ainsi le puissant courant de la révolution française apporte d'innombrables avantages sociaux mais aussi cette malédiction qui, en si peu de temps, a frappé tous les peuples."

citation extraite de Albert Einstein "A propos de la conférence du désarmement en 1932" dans "Comment je vois le monde" page 91 Le Monde Flammarion 2009 Traduit de l'allemand par Maurice Solovine et Régis Hanrion (First publication by Europa Verlag AG Zurich, 1953)
Supplément à Le Monde du jeudi 8 octobre 2009

Florent Petitpas rédigeant sa "note de l'éditeur" commence par "Einstein, génie du 20° siècle".

Dans le texte de Einstein où l'on peut lire :

"Race blanche", " décadence", "notre civilisation"
On retrouve, en filigrane, les mêmes valeurs que celle du nazi Werner Heisenberg. Que l'un soit un panthéiste sioniste escroc scientifique et que l'autre un pro-hitlérien travaillant à la bombe atomique pour Hitler et tout autant escroc scientifique n'empêche pas leur accord sur les points majeurs : accords sur leurs impostures réciproques, Einstein défend Heisenberg et Heisenberg défendit Einstein .... comme un moyen d'assurer la supériorité de la ... race aryenne. Car qu'est-ce que cette délirante "race blanche" à laquelle pense appartenir l'imbécile Einstein sinon la race aryenne des héros du fondateur des "incertitudes quantiques", l'apologiste du hasard microscopique.

J'avais démasqué le fasciste Heisenberg idéologue

jeudi 8 janvier 2009u

Werner Heisenberg, idéologue fasciste déguisé en physicien.

"V. LA FOI EN NOTRE TACHE

Avec cette constatation, je suis presque revenu à mon point de départ. A l'origine de la culture occidentale, on trouve cette relation étroite, établie par les Grecs, entre l'énoncé de la question de principe et l'action pratique. C'est sur cette relation que repose encore aujourd'hui toute la force de notre civilisation. De nos jours encore, presque tout progrès en dérive, et, dans ce sens, se déclarer pour la culture humaniste signifie aussi simplement se déclarer pour l'Occident et sa force, génératrice de culture."

On retrouve cette même apologie des "successeurs" de Grecs, on retrouve ce même mépris pour ceux qu'ils ont exclu de leurs préoccupation par l'usage du terme abject de "race blanche" pour Albert Einstein et sous l"invocation à la prétendue "entière mission de l'Occident" pour Werner Heisenberg

Il n'est point nécessaire d'entrer dans le détail des élucubrations pseudo-scientifiques en matière de sociologie ou de politique de l'imposteur Einstein : pacifiste un jour, anti-pacifiste un autre jour. Girouette politique comme girouette scientifique.

Celui qui croit que la science est faite de "libres inventions" - cet aspect de l'escroquerie sera l'objet d'un autre texte - , celui qui récuse l'existence objective du vide, des vitesses objectives dans le vide, le charlatan qui refuse les notions newtoniennes de "vitesses absolues", de "déplacement absolu d'un lieu absolu à un autre lieu absolu", celui qui récuse - son cerveau ne le comprend même pas - la simple notion de "lieu absolu" que construisit le jeune Newton avant sa 23° année dans son "De Gravitatione", le crétin qui ne voit même pas qu'il reproduit les stupidités de René Descartes - les mêmes absurdités stupides que le jeune Newton démonta sans pitié, n'est pas seulement un escroc physique, il n'est pas seulement un crétin qui "prouva" l'absurdité relativiste, il est un raciste qui ne comprend même pas l'"Optiks" de 1704 !!!

Une "race blanche" ?!!!

Pauvre abruti : depuis 1704, Newton et tous les scientifiques savent qu'il n'existe PAS de couleur blanche !!!

PAS DE COULEUR BLANCHE !!!! DEPUIS 1704 !!!

Quand il déverse sa propogande raciste, Albert Einstein ne se rend même pas compte qu'il a dérapé hors du champ de la science. Le prétendu auteur de l'équation E = h v qui obtint le prix Nobel 1921 décerné en 1922 pour cela, le prétendu auteur de l'équation "prouvant" l'existence des photons comme objets distincts les uns des autres aurait pour rôle de récuser - historiquement - l'existence du "blanc" et du "noir" en tant que couleur.

Il serait censé être celui qui explique que le "blanc" n'est qu'une pure illusion d'optique, il serait censé être celui qui explique que le noir est l'absence de toute lumière, l'absence de tout photon, l'absence de toute couleur.

Mais il reste et demeure un charlatan dans tous les domaines.

Le blanc - Newton le découvrit - n'est qu'une illusion d'optique provoquée par l'arrivée simultanée de photons de toutes les longueurs d'onde .... ou d'échantillons en proportions - d'énergie - égales.

Le noir - Newton le découvrit - n'a rien à voir avec le rouge - un grain de lumière -, avec le violet - un grain de lumière -, avec le vert - un grain de lumière -, avec le bleu - un grain de lumière -, avec le jaune - un grain de lumière -. Le noir n'est PAS un grain de lumière.
Le noir c'est l'absence de grain de lumière.

Point n'est besoin de traiter la problèmatique de la "race" : disqualifié par cette absurde "couleur" blanche qui serait la couleur de ses amis, de ses concitoyens de la Terre, disqualifié par son abjecte exclusion de nos cousins d'Afrique - à la peau couleur rose foncée - l'escroc Einstein ne mérite rien d'autre pour ses propos immondes que les habituels crachats symboliques. Crachats symboliques pour sa persistante participation à la construction idéologique de ce 20° siècle d'obscurantisme.

Que Le Monde et l'éditeur Florent Petitpas participent à cette opération n'a rien d'étonnant.

Ce journal fut, en son temps démasqué comme un pilier négationniste de la propagande en faveur du génocide au Rwanda.

Le fait qu'il présente l'imposteur Einstein comme l'auteur d'un des 20 livres qui ont changé le monde - le seul auteur de la liste pour la physique - est digne de l'oeuvre d'un honorable correspondant.

Si le cerveau des amis des services secrets français n'est pas assez grand pour comprendre que le principal livre de l'histoire humaine -Les Principia - n'est pas dans leur liste, nous pouvons nous en réjouir : la vague révolutionnaire - égalitariste et révolutionnaire - qui se prépare ne pourra que les prendre davantage au dépourvu !


Yanick Toutain 16 octobre 2009

compléments

Sur Einstein : tous les textes et en particulier l'analyse détaillée de son principal livre

Sur Heisenberg

Sur le déterminisme et le hasard : L'ours Mohamed

Sur les véritables thèses scientifiques défendues pas Isaac Newton

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