lundi 6 juillet 2009

Langevin 1911 et son voyageur de Bologne: l'imposture d'un crétin “relativiste” doublé d'un “âne relativiste”. Il ne sait même pas poser des équations

Langevin, Bologne, la relativité, Lénine, le matérialisme et l'empiriocriticisme. Les philosophes scientifiques contre les imposteurs relativistes. (2/2)

Il résulte de ce qui précède que ceux-là auront le moins vieilli dont le mouvement pendant la séparation aura été le plus éloigné d’être uniforme, qui auront subi le plus d’accélérations.”
ânerie de clown signée Paul Langevin Bologne 1911

I LANGEVIN 1911 ET SON VOYAGEUR DE BOLOGNE : L'IMPOSTURE D'UN CRETIN « RELATIVISTE » DOUBLE D'UN « ÂNE » RELATIVISTE. IL N SAIT PAS POSER DES EQUATIONS.

Par Yanick Toutain
5/7/2009

ABSTRACT : A) Les relativistes mentent. 1° En 1911, à Bologne, les « jumeaux » n'étaient qu' « un voyageur ». 2° Pour Langevin, il fallait accélérer pour faire ralentir le temps : 3° L'âne relativiste Langevin n'a rien compris à la relativité restreinte. 4° Langevin ment quant aux « preuves ». 5° Son texte est truffé d'une accumulation incohérente d'erreurs de calculs et de stupidités B) La propagande de Paul Langevin s'inscrivait dans l'offensive réactionnaire contre Newton et contre le matérialisme de Marx, Engels et Lénine.

Lire aussi “Une analyse philosophique du texte de Bologne écrit en 1911 par Paul Langevin”

Ce texte – pour sa partie philosophique- fait office de troisème lettre pour les “lettres publiques à Alexandre Moatti”. Sa partie “géométrique” basée sur la récente prise de connaissance du texte de Bologne 1911 de Langevin correspondrait à un supplément à la deuxième lettre.

La relativité de Einstein traite des perceptions d'un observateur resté “au repos” (sic) dans une gare, et qui regarde un train qui quitte cette gare. Le train n'accélère pas (on va supposer un Paris-Lyon obervé à partir d'un Einstein sur le quai de la gare de Dijon observant un train qui ne s'est pas arrêté pour conserver sa vitesse “uniforme” et “rectiligne”, une vitesse constante en ligne droite). Car la vitesse uniforme – constante – et rectiligne, c'est à dire en ligne droite, est la condition sine qua non de la Relativité Restreinte.
Non seulement dans son ouvrage “La relativité” dont le lecteur peut consulter la critique – avec totalité des citations à l'appui – sur Monsyte, mais aussi dans d'autres textes, Einstein est parfaitement clair : vitesse uniforme et rectiligne.
Cela n'empêche pas le clown Langevin d'aller en vacances en Italie :

A cette époque les clowns physiciens faisaient les voyages qui sont maintenant réservés aux clowns astronomes : la corruption des jeunes apprentis charlatans de l'orthodoxie astrophysique leur permet d'accéder aux mêmes privilèges que les Paul Langevin de 1911. Quant à la masse des clowns de la physique orthodoxe, elle a du réduire le niveau de ses privilèges. Pour parcourir la planète en émettant du carbone à rassurer les bourgeois, n'est pas Jean Jouzel qui veut !!!

Et, ce clown, pour justifier son voyage et se faire mousser auprès de son auditoire de “philosophes” de Bologne se met à délirer complèment :

On peut dire encore qu’il suffit de s’agiter, de subir des accélérations pour vieillir moins vite; nous allons voir dans un instant combien l’on peut espérer gagner de cette manière.”

Nul part depuis, aucun relativiste n'a jamais osé avancer pareille assertion !!! “Secouer une bouteille de champagne” pour en augmenter la durée de vie ? Mettre une souris dans un bocal posé sur un wagon de montagnes russes lui assurerait une longévité prolongée ?
Quelles aberrations !!!
Et ce crétin serait bien en peine de nous indiquer ce que la vitesse de la lumière viendrait faire dans le calcul de la fonction gamma qui viendrait MULTIPLIER la durée de vie de cette malheureuse victime de la Foire Relativiste.

Mais le crétin persiste et signe :

Donnons des exemples concrets: imaginons un laboratoire lié à la Terre, dont le mouvement peut être considéré comme une translation uniforme, et dans ce laboratoire deux échantillons de radium parfaitement identiques.”

Question : comment un physicien digne de ce nom peut-il écrire une pareille abérration :

la Terre, dont le mouvement peut être considéré comme une translation uniforme”

Le crétin ne se relit pas : dans le même texte, il avait écrit, le contraire, exactement le contraire, quelques lignes plus haut :

Comme la Terre, dans son mouvement annuel, possède une vitesse de translation qui varie constamment de quantités allant jusqu’à soixante kilomètres par seconde pour la vitesse relative correspondant à deux positions du globe diamétralement opposées sur l’orbite, on pouvait espérer qu’au moins à certains moments de l’année des observateurs liés à la Terre ainsi que leurs appareils se mouvraient par rapport à l’éther avec une vitesse de cette ordre et pourraient réussir à mettre leur mouvement en évidence.”

Comment un corps possédant une “vitesse de translation qui varie constamment” pourrait-il avoir un déplacement tel que son “mouvement peut être considéré comme une translation uniforme” ?
Chaque personne doté du minimum de connaissance en ce domaine sait que le mot “uniforme” signifie “dont la vitesse est constante”.
Il faut vraiment la puissance du corporatisme de l'”élite” de la classe formoise pour laisser de pareils individus se présenter comme “scientifiques”. Mais c'est précisément sur cette base stupide qu'il va pouvoir, avec un aplomb stupéfiant, tenter de nous faire gober son mensonge éhonté. Il va tenter de nous faire croire que des ralentissements effectifs de durée de vie auraient été observés.

Ce que nous savons sur l’évolution spontanée des matières radioactives nous permet d’affirmer que si ces échantillons restent au laboratoire, ils perdront tous deux leur activité de la même manière au cours du temps et garderont constamment des activités égales. Mais envoyons promener l’un de ces échantillons avec une vitesse suffisamment grande et ramenons-le ensuite au laboratoire; ceci exige qu’au moins à certains moments cet échantillon ait subi des accélérations. Nous pouvons affirmer qu’au retour, son temps propre entre le départ et le retour moindre que l’intervalle de temps mesuré entre ces mêmes évènements par des observateurs liés au laboratoire, il aura moins évolué que l’autre échantillon et par conséquent qu’il se trouvera plus actif que celui-ci; il aura moins vieilli, s’étant agité davantage. Le calcul montre que pour obtenir une différence d’un dix-millième entre les variations d’activité des deux échantillons, il aura fallu maintenir pendant la séparation l’échantillon vagabond à une vitesse d’environ quatre mille kilomètres par seconde.”

L'observateur attentif remarquera que l'invocation au “calcul” a pour fonction de masquer l'absence de données expérimentales. 11 ans avant l'imposture, 11 ans avant 1919 et le trucage honteux de l'escroc Eddington et ses “observations par temps brumeux”, l'église de la relativité commençait déjà à mettre en oeuvre ses méthodes de faussaires. Il ne s'agit pas là de mettre au rencart les “plaques photographiques brésiliennes” (Sobral) qui viennent contredire la moitié des “plaques photographiques africaines” (Principe)... il s'agit d'inventer complètement une expérience IMAGINAIRE conçue par le cerveau fumeux de l'imbécile Langevin dans le train Paris-Bologne qui le conduisait à son congrès de clowns philosophes. Son affirmation arrogante ”Nous pouvons affirmer qu’au retour, (...) il aura moins évolué que l’autre échantillon et par conséquent (...) il aura moins vieilli...” qu'un piteux mensonge. Un mensonge de plus de la longue tradition des mensonges relativistes. Le “vieillissement” revendiqué” du méson mu est dans cette tradition d'imposture : leur prétendu ralentissement de la vie du muon, sa plus grande durée de vie est basée sur un constat hors sujet : le NOMBRE de corps relevés ne correspondant pas à leurs préjugés d'ignorants, il en “déduisent” que la SEULE explication possible serait le facteur gamma obtenu par une vitesse v égale à 99,94 % de la vitesse de la lumière. Ces charlatans élèvent ce 0,9994 au carré, le soustraient de 1, en calculent la racine et vous annoncent leur résultat : le muon a son temps qui est ralenti d'un facteur gamma égal à 28,87.”Nous pouvons affirmer qu’(...) il aura moins vieilli... d'un facteur gamma = 28,87” nous annoncent - en 2009 - les charltatans de l'imposture relativiste !!!

LES ACCELERATIONS DE LANGEVIN RALENTISSENT LE TEMPS !!!
Il n'a RIEN compris à la relativité restreinte !

Mais, dans son train de 1911 vers Bologne, le clown Langevin – qui n'a pas remarqué que les accélérations devront attendre 1915 et la Relativité Générale pour être “solutionnées” nous démontre qu'il n'a RIEN compris à ce que Einstein écrivait :

Avant de donner un autre exemple concret, présentons encore notre résultat sous un autre jour. Supposons que deux portions de matière se rencontrent une première fois, se séparent, puis se retrouvent. Nous pouvons affirmer que des observateurs liés à l’une et à l’autre pendant la séparation n’auront pas évalué de la même manière la durée de celle-ci, n’auront pas vieilli autant les uns que les autres. Il résulte de ce qui précède que ceux-là auront le moins vieilli dont le mouvement pendant la séparation aura été le plus éloigné d’être uniforme, qui auront subi le plus d’accélérations.

Ce clown nous explique que le ralentissement du temps inventé par les einsteinistes, ce ne seraient pas les mouvements uniforme et rectilignes qui les déclencheraient, ce seraient les ACCELERATIONS !!!

Il faudrait – nous dit ce clown être “le plus éloigné d’être uniforme” pour maximiser le ralentissement du temps !

Arrivé à ce stade de délire, le charlatan – qui imaginait par avance l'accueil enthousiaste de ses collègues en Italie – ne pouvait pas s'arrêter. La machine à fabriquer du délire fantastique n'allait pas s'interrompre en si bon chemin. La madame Soleil, le Nostradamus de l'écurie einsteiniste allait nous fournir les moyens de connaître le futur.

La “MADAME IRMA LANGEVIN” de l'imposture relativiste.

Cette remarque fournit le moyen, à celui d’entre nous qui voudrait y consacrer deux années de sa vie, de savoir ce que sera la Terre dans deux cents ans, d’explorer l’avenir de la Terre en faisant dans la vie de celle-ci un saut en avant qui pour elle durera deux siècles et pour lui durera deux ans, mais ceci sans espoir de retour, sans possibilité de venir nous informer du résultat de son voyage puisque toute tentative du même genre ne pourrait que le transporter de plus en plus avant.”

Il suffirait pour cela que notre voyageur consente à s’enfermer dans un projectile que la Terre lancerait avec une vitesse suffisamment voisine de celle de la lumière, quoique inférieure, ce qui est physiquement possible, en s’arrangeant pour qu’une rencontre, avec une étoile par exemple se produise au bout d’une année de la vie du voyageur et le renvoie vers la Terre avec la même vitesse. Revenu à la Terre ayant vieilli de deux ans, il sortira de son arche et trouvera notre globe vieilli de deux cents ans si sa vitesse est restée dans l’intervalle inférieure d’un vingt-millième seulement à la vitesse de la lumière. Les faits expérimentaux les plus sûrement établis de la physique nous permettent d’affirmer qu’il en serait bien ainsi.

MENTIR impunément : LE PRIVILEGE DE L'EGLISE RELATIVISTE

Il faut vraiment avoir un sentiment d'impunité énorme, un sentiment de protection sociale gigantesque pour oser écrire en 1911 :

Les faits expérimentaux les plus sûrement établis de la physique nous permettent d’affirmer qu’il en serait bien ainsi.”

Aucune expérience de cette époque, de près ou de loin ne lui permettaient, à cette époque, d'avancer pareille imbécilité !!!
Et Langevin le sait. Relisons-le attentivement :

Il n'a pas écrit ““Les faits expérimentaux les plus sûrement établis de la physique nous permettent d’affirmer qu’il en EST bien ainsi.”


Il a écrit “ serait” !!!

Son usage du conditionnel révèle l'imposteur qui sait qu'il commet une imposture ! Il sait que les expériences déjà réalisées ne prouvent rien de son assertion : il évoque une expérience qui lui DONNERAIT raison !

Et sur quelle logique s'appuye-t-il ?

Le positivisme !!!

Quant à ses calculs, on va les vérifier. On va vérifier leur cohérence interne. Y compris par rapport aux équations de Einstein lui-même.

La fraction donnée par Langevin est donc v/c = 19 999/ 20 000. En effet, il a écrit “si sa vitesse est restée dans l’intervalle inférieure d’un vingt-millième seulement à la vitesse de la lumière”.

Ce qui donne la fabuleuse vitesse de 299777468,38 mètres par seconde pour ce voyageur
Pour calculer la valeur de la fonction gamma, il faut
commencer par élever cette fraction au carré et soustraire le résultat de 1.
On aura donc 1 – 19999² / 20 000² = (20000²-19999²) / 20000².
Il faut calculer la racine carrée du résultat et prendre la fraction inverse.
Gamma sera don
c égal à 20000 divisé par racine carrée de (20000²-19999²)= 100,001250 et quelques décimales de plus sur le tableur. Ce qui peut s'arrondir à 100.

D'après les thèses de la Relativité Restreinte, le facteur gamma est donc - approximativiement - égal à 100. Si la Relativité Restreinte était autre chose qu'une clownerie, le “ralentissement du temps” observé par un observateur “au repos” regardant un mobile en translation uniforme et rectiligne serait bien d'un facteur gamma égal à 100. Pour l'instant les calculs sont conformes à Einstein. Mais à la condition d'un trajet rectiligne uniforme !

Il est amusant de se rendre compte comment notre explorateur et la Terre se verraient mutuellement vivre s’ils pouvaient, par signaux lumineux ou par télégraphie sans fil, rester en communication constante pendant leur séparation, et de comprendre ainsi comment est possible la dissymétrie entre les deux mesures de la durée de séparation.”

Il est amusant, pour un matérialiste, pour un scientifique sérieux de constater qu'il ose écrire :

Il est amusant (...) de comprendre ainsi comment est possible la dissymétrie entre les deux mesures de la durée de séparation.”

CE QUI EST AMUSANT POUR NOUS, C'EST LE NON-RELATIVISME DE LANGEVIN !

En effet, le but de Einstein est de nier la dissymétrie : le train et la gare n'ont pas de position privilégiée. Toute vitesse est relative. Il n'y a pas de point de vue spécial : on est toujours en mouvement PAR RAPPORT à quelqu'un et la GARE est en MOUVEMENT par rapport au TRAIN !!!

Mais le voilà qu'il invoque une “communication à distance” correspondant à un effet Doppler. Cela va nous donner l'occasion d'étudier le problème posé par le clown Langevin sous un angle matérialiste, et donc scientifique.

Nous allons commencer par considérer le mouvement de la Terre. L'hypothèse (fausse mais approximative) Ain Al Rami nous fait envisager un mouvement terrestre possiblement égal au soixantième de la vitesse de la lumière pour la Terre et pour le Soleil (aux points d'aphélie et de périhélie). Et, conséquemment, un mouvement objectif du centre de la Galaxie possèdant une vitesse du même ordre. Restons sur cette hypothèse et admettons donc que la mouvement de révolution de la Terre et du Soleil autour du centre de la Galaxie est donc négligeable.
On prendra donc une Terre avançant, en deux ans et parcourant plus de 2 fois 31 millions de fois la distance de 5011 kilomètres.

Pendant ce temps, un voyageur frôle la Terre. En effet, sa vitesse devra rester uniforme à l'aller. Il aura donc du aller prendre son élan AVANT le commencement du protocole : comme le train de Dijon de Einstein plus haut.
Il va s'écarter de la Terre selon un angle alpha. Cet angle alpha étant formé des trajectoires de la Terre et de la trajectoire du voyageur.
Le bon élève en géométrie n'aura pas attendu plusieurs heures de calculs pour découvrir le fait que la vitesse de ce voyageur est intrinsèquement contenue dans cet angle alpha.
Ce que l'auteur de ce texte (génial mais pas très intelligent) a mis plusieurs heures de calcul à comprendre et après avoir traité tout le problème en calculant toutes les équations obtenues par Al Kashi, il lui a fallu une journée puis une nuit de calcul* et deux heures de jeux vidéo décompressantes pour, à 7 heures du matin, le comprendre : point n'était besoin de calculer toutes les formules pour présenter la version simplifiée du problème : en effet, pour retrouver la Terre après avoir parcouru deux hypothènuses de deux triangles rectangles, sa vitesse devra impérativement être égale à la vitesse de la Terre multipliée par cosinus alpha. La trajectoire de la Terre sera la base adjacente de l'angle alpha dont la trajectoire du voyageur sera l'hypothènuse.

Et cela suffisait à démonter comme stupides les assertions de Langevin !


Si Sam est l'observateur terrestre et qu'il se déplace objectivement à une vitesse S, si Walter est le voyageur et qu'il se déplace à une vitesse W, on a donc l'équation

W = S * cos (alpha)

On remarque que les deux trajectoires sont concomitantes et que Sam est constamment “à la verticale” de Walter sur notre dessin représentant les deux triangles rectangles.

Appelons “r” le délai du parcours de Walter jusqu'au sommet. “r” sera la moitié de la durée de l'expérience. Appelons “e” le délai du parcours de Sam au moment où il décide de lancer son “flash” spécial. Appelons “t” le délai du parcours de ce signal flash. Ce signal contiendra l'image de l'horloge de Sam.
Donc, arrivé à la moitié de son parcours (après r secondes) Walter voit l'horloge de Sam afficher “e” secondes.
Commme il est idiot, il ne connait pas l'effet Doppler, il va donc annoncer “l'horloge de Sam tourne moins vite que la mienne”.
Et la fraction

r/e

... sera considérée par lui comme représentant le ralentissement du temps de Sam. Il dira : le temps de Sam tourne r/e fois moins vite que le mien.
Le bon élève en arithmétique aura anticipé le fait que “r” était évidemment égal à la somme de “e” et de “t”.
L'apparent “ralentissement du temps” de Sam vu par Walter est simplement du au délai “t” pendant lequel le signal “image” a voyagé.
Le logicien aura remarqué que pendant toute la durée du trajet de Walter sur la première hypothénuse, il aura d'une part la vision correcte de s'éloigner de Sam et il verra ce “ralentissement apparent du temps” se dérouler dans les mêmes proportions. Tous les trajets des signaux images qu'il recevra seront parallèles et les triangles homothétiques, avec des e,de r et des t conservant leurs proportionnalités.

Est-ce à dire que, pour Sam, le phénomène est le même ?
Eh non ! Ce n'est pas possible. Et cela pour une raison simple : le trajet de Sam est rectiligne. Et celui de Walter parcourt deux hypothènuses.
On va donc étudier ce que Sam voit de Walter.
Bien que, tout au long du trajet de Walter, Sam en recevra des images ayant les mêmes “caractéristiques d'homothétie” , on se contentera d'étudier le signal envoyé par Walter au milieu de son parcours.

Donc, à mi-parcours, Walter émet un flash. Ce flash contient “r” l'heure affichée de son horloge. Ce r est la durée de son parcours depuis le début de l'expérience jusqu'au moment où il a atteint son point le plus éloigné de la Terre et de Sam.
Ce flash va parcourir un trajet. Un trajet dont le délai sera .... “t”

En effet, ce trajet de la lumière mesurera c*t , c'est à dire la vitesse de la lumière multipliée par le délai “t”.
Et pendant ce délai “t”, Sam parcourera une distance S*t. C'est facile à comprendre : il se trouvait, au moment où Walter émet son signal à la moitié de son propre parcours et donc il était juste à l'endroit de l'angle droit du triangle rectangle donc Walter avait parcouru l'hypothénuse. C'est le fait que la fraction S/C est constante (1/60° dans l'hypothèse Ain Al Rami) qui rend logique ce délai “t” pour le parcours du signal Walter vers Sam.

Sauf que .... et donc cela change tout, quand Sam va recevoir ce signal, il aura voyagé pendant trois délai successifs : le délai jusqu''au moment où il émet le signal “sommet” vers Walter, le délai pendant lequel le signal vers Walter aura voyagé et le délai pendant lequel le signal émis par Walter au sommet aura voyagé pour lui revenir. C'est donc la somme “e + t + t” qui s'affiche sur l'horloge de Sam quand il reçoit l'image de l'horloge de Walter affichant “r”.
Pour Walter le “ralentissement du temps apparent” de Walter est donc la fraction :

( e + 2 *t ) / r

On constate que ces deux fractions ne sont pas les mêmes !!!!

Le lecteur amusé pourra s'amuser à découvrir ce qui se passerait, la signification qu'aurait la stupide hypothèse que ces deux fractions de “ralentissement du temps” pourraient être égales dans leur résultat chiffré !!! Je laisse cette joie aux lecteurs matérialistes.

Passons maintenant et rapidement sur la fameuse “accélération” du temps qui va – selon Langevin – s'ensuivre :

Quand Walter arrive au bout de son parcours, il aura vu son horloge avance de “r” secondes. Tandis que, arrivé sur Terre, il verra l'horloge de Sam afficher .... tout simplement un délai “t+e+e” supplémentaire sur l'horloge de Sam. Il verra comme “accélération” du temps de Sam ce que Sam avait vu comme ralentissement du sien pour la première phase du trajet.
Quant à Sam, il verra l'horloge de Walter accélérer d'un facteur égal à “r/e”.

Il n'y a pas de symétrie mais la dissymétrie est inversée dans la chronologie.

Examinons maintenant les foutaises bâclées de Langevin !


Pendant qu’il s’éloigneront l’un de l’autre avec une vitesse voisine de celle de la lumière, chacun d’eux semblera à l’autre fuir devant les signaux électromagnétiques ou lumineux qui lui sont envoyés, de sorte qu’il mettra un temps très long pour recevoir les signaux émis pendant un temps donné. Le calcul montre ainsi que chacun d’eux verra vivre l’autre deux cents fois plus lentement qu’à l’ordinaire.”

L'imbécile a déjà oublié que son facteur gamma avait – pour v égal à 19 999c/ 20 000 – une valeur égale à 100. Et le voilà qu'il s'emmêle les pinceaux et que le 100 est devenu 200. Mais, il ne s'arrête toujours pas en si bon chemin ! C'est à se demander si, en 1911, il a eu connaissance d'un seul texte de Einstein. Cela intrigue. D'autant plus que le nom de Einstein – Le Renard avec la Cigogne n'est pas cité une seule fois de tout ce texte délirant.

Quant au relativiste, ce n'est certainement pas la “vitesse”proposée qui pourrait faire “ralentir les images” d'un facteur 100 ou d'un facteur 200.

Pendant l’année que durera pour lui ce mouvement d’éloignement, l’explorateur ne recevra de la Terre que des nouvelles des deux premiers jours après son départ; pendant cette année il aura vu la Terre que des nouvelles des deux premiers jours après son départ; pendant cette année il aura vu la Terre accomplir les gestes des deux jours.

Deux jours ? Tout élève de classe primaire connait la division par cent et est capable de calculer 365 jours divisés par 100. Il trouvera 3,65. Ce résultat serait conforme aux absurdes thèses de Einstein sur le ralentissment visible de horloges de synchronisation. Quant au facteur 200 qui vient de surgir du cerveau embrumé du positiviste français, s'il divisait 365 jours, son résultat serait la moitié de 3,65. Et donc 1,825 (calculé de tête). A moins que son “deux” ne soit ce 1,8 arrondi à l'entier ! Mais à ce stade, il n'a toujours pas remarqué qu”un facteur gamma = 200 impliquerait – en bonne orthodoxie einsteiniste une vitesse calculée en extrayant v à partir d'un gamma=200 de la formule gamma = 1 sur racine de 1 mooins v/c². Une vitesse bien plus proche de celle de la lumière que celle indiquée.

D’ailleurs, pour la même raison, au vertu du principe de DOPPLER, les radiations qu’il recevra de la Terre pendant ce temps auront pour lui une longueur d’onde deux cents fois plus grande que pour elle. Ce qui lui semblera radiation lumineuse par laquelle il pourra voir la Terre aura été émis par celle-ci comme rayonnement ultra-violet extrême, voisin peut être des rayons de RÖNTGEN.

L'appel aux longueurs d'onde plombe encore son absurdité, comme nous le verrons ci-dessous. Cessons momentanément de chipoter sur la valeur 200.

Et si l’on veut maintenir entre eux une communication par signaux hertziens, par télégraphie sans fil, l’explorateur ayant emporté avec lui des appareils de réception ayant une certaine longueur d’antenne, les appareils de transmission utilisés par la Terre pendant ces deux jours qui suivront le départ devront avoir une longueur d’antenne deux cents fois plus courte que la sienne.

Vous avez bien lu : Il parle des images reçues par la Terre. Il ne nous parle plus du ralentissment perçu par Walter mais de ce que le terrestre Sam en voit : et l'imbécile CONSERVE la même valeur.
Il n'a même pas remarqué que le Doppler du terrestre est plus faible que celui de l'autre. Il n'a même pas compris que pour Sam, si 200 est la valeur utilisée par Walter, son calcul de ralentissement “réciproque” sera égal à 2 moins l'inverse du facteur de l'autre.
Si Gamma vaut 100, on trouvera 2 – 1 / 100 c'est à dire 199 sur 100
et si, comme l'écrit Langevin ici, le ralentissement vaut 200 pour le Voyageur, pour celui resté à Terre, le ralentissement des images et donc l'accroissement des LONGUEURS D'ONDE PERCUES sera égal à

2 – 1 / 200 = 400 / 200 – 1 / 200 = 399 / 200 ce qui est environ égal à DEUX !!!!

Pendant le retour les conditions seront inversées: chacun d’eux verra vivre l’autre d’une vie singulièrement accélérée, deux cents fois plus rapide qu’à l’ordinaire,

Langevin qui n'a pas sorti ni son calepin ni son crayon se met à délier complètement : il raconte n'importe quoi : un Doppler retour n'est PAS égal à la fraction inverse de la valeur d'un DOPPLER aller !!!!
Et il persiste ENCORE à PRETENDRE que les DOPPLER sont égaux pour les deux participants de cette expérience stupide !!!

LANGEVIN DERAILLE COMPLETEMENT !!!

et pendant l’année que durera pour lui le retour, l’explorateur verra accomplir les gestes de deux siècles:

Là, on a quitté la route !!

Le lecteur attentif a remarqué que Walter, le voyageur, après UNE ANNEE de voyage, le 1 janvier 1912 à midi voit les images émises par Sam après 1,8 journée d'expérience. Il voit, par exemple affiché le 2 janvier 1911 à 19h si l'expérience est commencée à midi la veille.... et si la valeur 200 de Langevin est la bonne !!!
Le lecteur raisonnable sait que Sam, au moment où Sam voit cette vieille image, est LUI AUSSI A MI-PARCOURS DE SON TRAJET. Et il sait que le calendrier de Sam – à cet instant – affiche, lui aussi le 1 janvier de l'année 1912 !!!

Comme le lecteur de ce blog est attentif, il sait que, après un délai égal au délai du signal Sam vers Walter, le terrestre Sam recevra l'image de Walter au moment de son “sommet”, à son point le plus éloigné.
Mais, surtout, le lecteur attentif sait que Walter a encore un voyage de UN AN à parcourir et que, lorsque Sam va arriver au même point il n'y a aucune raison que les pendules se soient détraquées.

En effet, dans le délai “r” que va durer son parcours, Walter va, effectivement voir la pendule de Sam lui envoyer des images accélérées.
Mais “accélérées” de combien ?

Tout simplement d'un facteur égal à une année moins 1,8 jours le tout divisé par l'année pendant laquelle Walter verra ce phénomène. Or une année moins 1,8 jours avait été calculé par la soustraction de 1/200 à l'année en question. On aura donc 199/200 à diviser par UN.
Pendant son trajet retour vers la Terre, Walter verra simplement l'horloge de Sam “accélérer” d'un facteur appropximativement égal à DEUX !

LA PENDULE DE SAM vue par Walter
“IRA” DEUX FOIS PLUS VITE
QUE CELLE DE WALTER !
LE
“200” FOIS
SORT DU CHAPEAU DU CHARLATAN !!!

on conçoit ainsi qu’il la trouve au retour vieillie de deux cents ans.

On ne “conçoit” rien du tout mis à part le délire de Langevin. Emporté par son élan. Ayant, sans doute, passé trop de temps au buffet restaurant du Paris-Bologne, l'imbécile multiplie l'année de Walter par DEUX CENT !!!



Il la verra d’ailleurs pendant cette période par l’intermédiaire d’ondes qui pour lui seront lumineuses mais qui pour elle appartiendront à l’extrême infrarouge, par ces rayons d’environs cent-microns de longueur d’onde que M. RUBENS et WOOD ont récemment découverts dans le spectre d’émission du manchon Auer. Pour qu’il continue à recevoir de la Terre des signaux hertziens, celle-ci devra, après les deux premiers jours et pendant les deux siècles qui suivront, employer une antenne de transmission deux cents fois plus longue que celle du voyageur, quarante mille fois plus longue que celle employée pendant les deux premiers jours.


Une nouvelle fois, la poudre de perlinpinpin du bateleur de foire : les antennes à longueurs variables servent au baratineur pour faire un nuage de fumée !

Pour comprendre la dissymétrie, il faut remarquer que la Terre mettra deux siècles à recevoir les signaux envoyés par l’explorateur pendant son mouvement d’éloignement qui pour lui dure un an:

On a l'impression d'un mauvais élève bredouillant – en s'enfonçant dans son n'importe quoi. On a vu, au-dessus, que le Doppler de la Terre qui reçoit le signal est d'un facteur 2, c'est à dire qu'il est l'égal du Doppler du signal retour de Walter.

La Terre et Sam verront Walter vivre presque DEUX FOIS PLUS LENTEMENT.

Et donc, après une année et 363 jours, c'est seulement UN AN DE LA VIE DE WALTER que verront Sam et les Terrestres.

Pour clarifier cela, on va arrondir les données avec une “année” égale à 200 jours.

RESUME

1° Walter voyage pendant 200 jours, il voit arriver une image marquée “1 jour”. (L'image a voyagé pendant 199 jours) . Pour Walter le temps “est” ralenti 200 fois sur Terre. ( On vérifie 1+199=200)
Walter voyage 200 jours de plus et voit l'image finale de Sam afficher 400 jours. Et donc 399 jours de plus qu'à sa précédente “photo”.
Pour Walter, le temps de Sam s'est donc – dans la deuxième partie du voyage - “accéléré” de 399/200

2° Sam voit Walter partir. Après un délai de 200 jours plus 199 jours, donc 399 jours affichée sur l'horloge sur Terre, Sam voit arriver une image venant de Sam qui affiche 200. (On vérifie 200 jours pour le trajet Walter + 199 pour le trajet de l'image = 399). On remarque que Sam est presque arrivé. Pour lui le facteur ralentissement Doppler de Sam est égal à 399 / 200.
Mais, il reste 1 jour de voyage pour Sam. Pendant cette journée terrestre, les images de Walter arriveront de plus en plus rapidement. Et c'est un facteur 200 en accéléré qui apparaitra AUX YEUX DE SAM !

LE LIEU EXACT ET L'EXPLICATION DE L'ERREUR DE LANGEVIN :

L'IMBECILE RELATIVISTE A CONFONDU L'”ACCELERATION” DES IMAGES RETOUR DE WALTER VUES PAR SAM AVEC CELLES DE SAM VU PAR WALTER !!!



Tous ce qui suit n'est que du délire pour justifier les conclusions ahurissantes obtenues par un imbécile incapable de poser des équations Doppler !
Le lecteur matérialiste se régalera de décortiquer la mauvaise foi imbécile du futur ami du stalinisme.

Détruire la philsophie de Lénine, détruire les bases de la science et participer à la propagande en faveur du Goulag résume ce que fut la vie de ce misérable !

Laissons-le, lui et ses partisans à ses délires.

elle le verra vivre pendant ce temps dans son arche d’une vie deux cents fois plus ralentie; elle lui verra accomplir les gestes d’un an. Pendant les deux siècles au cours desquels la Terre la verra ainsi s’éloigner, elle devra pour recevoir les signaux hertziens émis par lui, employer une antenne deux cents fois plus longue que la sienne. A la fin de ces deux siècles parviendra à la Terre la nouvelle de la rencontre du boulet avec l’étoile qui marque le commencement du voyage du retour. L’arrivée du voyageur se produira deux jours après pendant lesquels la Terre le verra vivre deux cents fois plus vite qu’à l’ordinaire, lui verra accomplir les gestes d’une autre année pour le trouver au retour vieilli seulement de deux ans. Pendant ces deux dernières journées, pour recevoir des nouvelles de lui elle devra employer une antenne de réception deux cents fois plus courte que l’antenne du voyageur.

Ainsi la dissymétrie tenant à ce que le voyageur seul a subi, au milieu de son voyage, une accélération qui change le sens de sa vitesse et le ramène au point de départ sur la Terre se traduit par ce fait que le voyageur voit la Terre s’éloigner et se rapprocher de lui pendant des temps égaux chacun pour lui à un an, tandis que la Terre, prévenue de cette accélération seulement par l’arrivée d’ondes lumineuses, voit le voyageur s’éloigner d’elle pendant deux siècles et revenir pendant deux jours, pendant un temps quarante mille fois plus court.

Si l’on cherche maintenant dans quelles conditions un semblable programme pourrait se réaliser, on se heurte, naturellement, à des difficultés matérielles énormes.

La théorie permet de calculer le travail que la Terre devrait dépenser pour lancer le projectile, pour lui communiquer l’énergie cinétique correspondant à son énorme vitesse. En supposant la masse du boulet égale seulement à une tonne on calcule aisément que si l’on veut ne mettre qu’un an à le lancer, en le faisant tourner à l’extrémité d’un fronde par exemple avant de l’abandonner, il faudrait faire fonctionner sans arrêt pendant cette année là quatre cents milliards de chevaux-vapeur et brûler pour les produire au moins mille kilomètres cubes de houille.

Ces difficultés au départ seraient d’ailleurs suivies de difficultés non moins grandes au moment de la réflexion ou de l’arrêt. Il faudrait tout d’abord, pour la réflexion, trouver un système capable d’emmagasiner l’énorme énergie cinétique du projectile, puis de la restituer pour le renvoyer en sens opposé avec la même vitesse. Pour l’arrêt il faudrait dissiper graduellement cette énergie sans qu’il en résulte à aucun moment d’accélération ni d’élévation de température néfaste au projectile, alors que la quantité de chaleur équivalent à son énergie cinétique suffirait pour le porter à une température de 10 puissance 16 degrés au moins.

Nous avons d’autre part toute raison de penser que si un projectile arrivait vers la Terre avec une telle vitesse, celle-ci ne s’apercevrait même pas de son passage et qu’il s’arrêterait seulement à une certaine profondeur dans le sol sans laisser même aucun trou à l’endroit de la surface où il serait passé. A peine se produirait-il sur sa trajectoire à travers l’atmosphère un léger accroissement de la conductibilité électrique de l’air. Nous savons, en effet, par l’exemple des particules alpha du radium, que des atomes matériels d’hélium dont la vitesse est à peine de 20000 kilomètres par seconde peuvent suivre à travers la matière une trajectoire parfaitement rectiligne et traverser d’autres atomes sans laisser aucune trace de leur passage qu’un accroissement de conductibilité, et notre projectile aurait, par unité de masse une énergie cinétique cent mille fois plus grande que les particules alpha. Il constituerait une radiation extraordinairement pénétrante. Il faudrait, pour éviter ces difficultés, trouver un moyen de ralentir progressivement son mouvement à mesure qu’il approcherait de la Terre. Il ne semble pas qu’on puisse non plus tenter ici l’emploi du principe de la fusée que mon ami M. PERRIN propose d’utiliser pour les voyages interplanétaires.”



Qu'il ait l'arrogance de nier la possibilité de la construction de fusées n'est qu'une cerise de plus sur la gâteau de la bêtise positiviste !

Il vient s'ajouter à son explorateur qui revient sans laisser de trace de son passage : TROP DRÔLE LE CRETIN !

Nous avons d’autre part toute raison de penser que si un projectile arrivait vers la Terre avec une telle vitesse, celle-ci ne s’apercevrait même pas de son passage et qu’il s’arrêterait seulement à une certaine profondeur dans le sol sans laisser même aucun trou à l’endroit de la surface où il serait passé. “

Paul Langevin, un digne membre du personnel intellectuel de la bourgeoisie : ce sont ces clowns qui sont responsables de la destruction de la Terre, des crimes du capitalisme et de l'obscurantisme absolu qui est celui de la civilisation terrienne depuis le deuxième enterrement de Newton, en 1905, en 1919 et en 1922. Les clowns seront démasqués. Tous les clowns. Les révolutions scientifiques et philosophiques vaincront. Elles vaincront en complément des 3 révolutions sociales qui arrivent et seront parachevées par la révolution civilisationnelle qui, par l'égalitarisme libéral, donnera le leadership aux innovants. Nous vaincrons !







NOTES

* J'ai longtemps hésité à chercher à comprendre ce que Langevin entendait par “vitesse”. Je renvoie le lecteur à mon texte sur ce sujet. C'est en “Gordien” tranchant que j'ai solutionné par une version simplifiée le problème : les vitesses absolues, newtoniennes, qui me servent pour l'exposé, ne sont pas susceptibles de pinaillerie par les relativistes : elles n'apparaissent pas dans les calculs présentés !!!!

** Si ce texte a été commencé après la mise sur équations, puis sur tableur et sur graphiques calculés, et donc le calcul de toutes les données – y incluses les équations basées sur les Al Kashi qui n'y figurent pas ici mais ont permis le schéma calcul de tableur présenté, pour autant, la découverte du lieu précis du problème qui a induit Langevin en erreur s'est produite à l'exact endroit où il est signalé. Le fait que Langevin ait confondu le facteur “vu de la Terre” avec le facteur “vu par le voyageur” est une découverte historique pour l'épistémologie du crétinisme. Cela faudra, sans doute, un autre texte.

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