jeudi 8 janvier 2009

Werner Heisenberg, idéologue fasciste déguisé en physicien.



Werner Heisenberg, idéologue fasciste déguisé en physicien.



présentation : Yanick Toutain


8/1/2009

Le texte qui suit est un manifeste fasciste. Le héros de la physique du 20° siècle, le héros de la pseudo-science appelée « mécanique quantique » n'est pas seulement un imposteur protégé par la totalité des "clowns titrés professeurs" qui transmettre leur idéologie lamentable sous couvert de science, il est aussi et surtout un idéologue du fascisme.
Croire en Heisenberg est équivalent à préparer son esprit à la croyance au fascisme.
Les commentaires détaillés seront l'objet du texte suivant. Le lecteur égalitariste, le lecteur scientifique pourra exercer sa sagacité en décryptant les messages subliminaux contenus dans ce texte. Ils sont les frères jumeaux des messages subliminaux contenus dans le charlatanisme de la mécanique quantique – messages subliminaux propagés par TOUS les enseignants titrés « professeurs de physique ».
La révolution mettra bon ordre à cette imposture, à cette propagande.
Extrait du livre « La nature dans la physique contemporaine ».
Divers indices indiquent une rédaction en 1949.

V. LA FOI EN NOTRE TACHE

Avec cette constatation, je suis presque revenu à mon point de départ. A l'origine de la culture occidentale, on trouve cette relation étroite, établie par les Grecs, entre l'énoncé de la question de principe et l'action pratique. C'est sur cette relation que repose encore aujourd'hui toute la force de notre civilisation. De nos jours encore, presque tout progrès en dérive, et, dans ce sens, se déclarer pour la culture humaniste signifie aussi simplement se déclarer pour l'Occident et sa force, génératrice de culture.
Mais en avons-nous encore le droit, alors que la puissance et l'autorité de l'Occident ont diminué au cours des dernières décennies dans des proportions si effrayantes ? - A cela, nous répondrons en premier lieu qu'il ne s'agit pas du tout ici de ce à quoi nous avons droit ou autres choses semblables, mais uniquement de ce que nous voulons. En effet, ce n'est pas sur une notion théorique que repose toute l'activité de l'Occident, en vertu de laquelle nos ancêtres se seraient estimés en droit d'agir ; les choses se sont passées tout autrement. Au commencement était - et est toujours dans des cas semblables - la foi. Je ne parle pas seulement de la foi chrétienne en un univers harmonieusement ordonné par Dieu, mais aussi, plus simplement, de la foi qui consiste à croire en notre tâche ici-bas. Bien entendu, croire ne veut pas dire ici : tenir pour vrai ceci ou cela, mais croire signifie toujours : voici ce à quoi je me résous, voici ce sur quoi j'engage mon existence! Lorsque Christophe Colomb entreprit son premier voyage vers l'ouest, il croyait que la terre était ronde et assez petite pour qu'on en puisse faire le tour. Non seulement cette théorie lui paraissait exacte, mais il engagea sur elle son existence. A ce propos, dans l'histoire de l'Europe telle qu'il l'a récemment relatée et où il parle de ces questions, Freyer emploie à juste titre la formule antique : Credo ut intellegam - « je crois afin de comprendre »; et, l'appliquant aux grands voyages, Freyer l'a élargie en y ajoutant un terme intermédiaire : Credo ut agam; ago ut intellegam - « je crois afin d'agir ; j'agis afin de comprendre ». Cette formule s'adapte non seulement aux premières circumnavigations, mais aussi à tout le domaine des sciences occidentales de la nature, je dirai même : à l'entière mission de l'Occident. Elle contient à la fois la culture humaniste et les sciences de la nature. D'autre part, ne nous laissons pas aller à des excès de modestie : une moitié du monde contemporain, à savoir l'Ouest, est parvenue à un degré de puissance incomparable en matérialisant, à un degré jusqu'alors jamais atteint, l'idée occidentale de la domination et de l'exploitation des forces naturelles par la science. L'autre moitié du monde, l'Est, tire sa cohésion de la confiance qu'elle a mise dans les thèses scientifiques d'un philosophe et économiste européen. Personne ne sait ce que l'avenir nous réserve, ni quelles sont les puissances spirituelles qui gouverneront le monde, mais il nous faut commencer par croire à quelque chose et vouloir quelque chose.
Nous voulons que la vie spirituelle redevienne florissante ici, et qu'ici, en Europe, continuent à naître les idées qui déterminent l'aspect du monde. Nous engageons notre existence sur le pari que, dans la mesure où nous saurons nous souvenir de notre origine et retrouver le chemin vers la coopération harmonieuse des forces de notre continent, même les conditions matérielles de la vie en Europe deviendront plus heureuses qu'elles ne le furent au cours des dernières cinquante années. Nous voulons que notre jeunesse, en dépit du chaos extérieur, grandisse dans l'atmosphère spirituelle de l'Occident, et qu'elle puise aux sources de la force qui a fait vivre notre continent pendant plus de deux mille ans. Ne nous soucions qu'en second lieu des points de détail! Il n'est pas d'une importance primordiale que nous nous déclarions pour l'enseignement humaniste ou pour un autre système scolaire. Mais en tout cas et avant toute autre chose, nous devons nous déclarer pour l'Occident!



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PS : 22:03 J'ignorais, il y a deux minutes, qui était le Ernesto Grassi mentionné sur l'image, comme ayant dirigé la publication de ce texte fasciste.
Je trouve, sur le wiki (Heidegger et le nazisme), des indices très signifiants du personnage.
Il y aura une histoire à faire de l'infiltration de l'idéologie fasciste universitaire du 20° siècle.
"Et s'il subit l'attaque des responsables nazis ayant en charge la surveillance de la philosophie, il verra un de ses textes publié via l'accord donné par Mussolini, convaincu par le philosophe Ernesto Grassi de laisser publier sa conférence sur Platon ("La doctrine de la vérité chez Platon") dans un ouvrage collectif dirigé par Grassi lui-même (en 1942), alors même que Rosenberg s'y oppose. C'est Goebbels qui trouve une position médiane : la conférence paraît mais ne doit être mentionnée dans aucun compte-rendu[5]. Il est empêché de se rendre à l'étranger pour des colloques et en particulier à Paris pour le tricentenaire de Descartes. Il n'a toutefois pas de problème à voyager à Zürich en 1935, puis à Rome 1936 où il rencontre Löwith à qui il redit sa foi en Hitler (cf. "Ma vie en Allemagne avant et après 1933").
Certains veulent voir dans les rapports nazis [retrouvés dans les archives du Ministère des Affaires étrangères] un point de vue favorable à Heidegger
[6]. Car Heidegger, ne donnant aucun signe de résistance politique ouverte, n'est pas jugé dangereux."
Le Freyer semble être le Hans Freyer, responsable de 1933 à 1945 de la société allemande de sociologie :
La citation latine m'a amené vers cette interview (que je comprendrai plus tard) de Heisenberg

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