vendredi 30 janvier 2009

LETTRES A JEAN BRICMONT n° 4


LETTRES A JEAN BRICMONT : "Les imposteurs "scientifiques"

De Yanick Toutain

Lettre n°4

Science, pertinence, cohérence, A. Einstein, Heisenberg et contre-révolution anti-scientifique

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Lundi 24 octobre 2005

Monsieur Bricmont

voulant poster la lettre n° 4 avant la fermeture du cyber espace où je vais sur le net- avant la fermeture du soir -et ayant mon imprimante qui débloquait, je n'ai pu faire la correction orthographique que sur l'écran (après avoir vainement tenté de tigonner la dite imprimante)

Il en est résulté une horreur orthographique dont je m'excuse auprès de vous et des lecteurs recevant les copies des mes courriers.


Voilà donc cette lettre 4 sous un jour présentable

Quant à la lettre 5 - déjà tapée [quand à la fausseté de la preuve de la Relativité par l'avance du périhélie de Mercure], elle attendra que son impression permette d'éviter la même mésaventure.

Excusez-moi encore.

YT

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Science, pertinence, cohérence, A. Einstein, Heisenberg et contre-révolution anti-scientifique

(0510211543)

Monsieur Bricmont,

Le livre de l'hagiographe de A. Einstein que je citais dans ma deuxième lettre a eu ses références qui ont sauté ; les voici donc : Lincoln Barnett "Einstein et l'univers" Gallimard idées n.r.f. 1951 (The universe and Dr Einstein)

Ce rappel me permet revenir sur la question de la relativité.

Toute science a deux devoirs, deux contraintes : le devoir de cohérence et le devoir de pertinence. Toute science doit être logique, avoir ses propositions reliées conceptuellement par des relations de causes et d'effets. Et, par ailleurs, elle doit être pertinente, c'est à dire être vérifiée par l'expérience, que ce soit par un cahier des charges construit et vérifié ou simplement par l'observation, lorsque le domaine d'étude ne permet pas de construire un protocole expérimental, comme en astronomie, par exemple. On peut remarquer que la construction de micro mondes informatiques tels que les a définis Seymour Papert sont à mi-chemin de l'étude de cohérence et de l'étude de pertinence : on construira des modèles incluant la productivité et le rendement agricole en Italie romaine pour comprendre la proportion possible d'esclaves, on construira des micro mondes pour analyser le comportement des électrons, on construira des micro mondes pour étudier la possibilité pour les photons de se comporter de telle façon en s'agglomérant et en se percutant pour étudier des alternatives à la croyance en l'"attraction".

Ces deux contraintes sont tellement puissantes qu'elles doivent permettre de rejeter impitoyablement toute construction non étayée par les observations ou non logique.

Concernant la cohérence, il y a deux aspects à étudier : il y a, par exemple pour un matérialiste, la cohérence de la grille théorique étudiée avec le reste de ses grilles théoriques ; et il y a la simple cohérence interne aux propositions énoncées comme nouveauté conceptuelle.

Ce que je veux vous démontrer aujourd'hui, Monsieur Bricmont, c'est que la relativité n'est non seulement pas cohérente avec la conception d'un monde extérieur à nous-mêmes, avec l'existence d'un vide absolu au sens de Lucrèce et de Newton. Mais que, de surcroît, elle n'est même pas cohérente en elle-même : Il n'est même pas besoin de faire appel à des théories autres que celle qu'acceptent clairement ses auteurs (et thuriféraires).

A Einstein

L Barnett

Ce qui va suivre, je l'ai déjà annoté en marge du livre (ed. Payot) de A. Einstein. Je pourrai faire la critique du texte de l'auteur lui-même lorsque le sympathique étudiant en sciences, à qui je l'ai prêtée, aura condescendu à me rendre ma "bible" à couverture jaune. Je vais, donc, là, utiliser à nouveau notre "ami" Lincoln Barnett, dont, je vous le rappelle, l'ouvrage a obtenu l'imprimatur du maître : "Les grandes idées de la théorie de la relativité y sont extrêmement bien présentées" (avant propos de A. Einstein à l'op. cit.)

Je cite Lincoln Barnett p. 71 : "Pour comprendre ce dont il s'agit, il est d'abord nécessaire de se rendre compte des failles qui existent dans le vieux principe de l'addition des vitesses. Einstein mit en évidence ces lacunes en utilisant un autre apologue de train. Une fois de plus, il considéra un réseau rectiligne de voies. Cette fois-ci, un observateur se tient sur un quai, sur un côté de la voie. Un orage éclate et deux éclairs de la foudre frappent simultanément la voie en deux points séparés A et B. Qu'entendons-nous, demande Einstein, par le mot "simultanément ?" Pour essayer de définir le terme avec plus de précision, il suppose que l'observateur se tient très exactement à mi-chemin entre A et B et qu'il est muni d'un système de miroirs qui lui permettent de voir A et B dans le même temps sans avoir à bouger les yeux. Par conséquent si la lueur des éclairs se reflète dans les miroirs de l'observateur au même instant précis, on peut considérer que les deux éclairs sont simultanés."

Stoppons-là la citation : vous mémorisez sans doute qu'elle est bien l'exemple identique à celui du livre "La relativité" de Einstein lui-même.

Étudions attentivement ce qui est la brique première de la relativité : sa dalle de béton fondamentale.

On a deux éclairs sur une voie de chemin de fer. Il sera possible d'aller vérifier aux deux points d'impacts les endroits précis. On saura alors que le vieil Albert était bel et bien au milieu des deux points d'impacts : on présume que l'hagiographe est bien allé déposer trois stèles commémoratives aux trois endroits mentionnés. Nous sommes donc bien d'accord : L'observateur est AU MILIEU des deux points d'impact.

Lincoln Barnett, après Einstein lui-même, nous dit "au même instant précis" il perçoit les deux éclairs.

Comment est-ce possible ?

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Reprenons les deux éclairs : appelons éclair1 et éclair2 les deux photons qui vont quitter leurs jumeaux monochromatiques pour chacun se diriger vers le Génie : l'un par la droite, l'autre par la gauche. Ce sont ces deux photons éclair1 et éclair2 qui entrent dans l'œil de Einstein pour lui permettre de construire sa faribole.

Car, en effet, comment comprendre cela autrement qu'une douce plaisanterie : la Terre bouge. Les Bellarmin immobilistes ont menacé Galilée du bûcher pour l'avoir prétendu. Einstein, lui-même, le sait. En tout cas, s'il l'ignorait en 1905, son ami Barnett le lui a apprit en 1948 : page 57 de son ouvrage apologétique Barnett a écrit "la vitesse de la terre dans son orbite autour du soleil est seulement de 29 km 750 à la seconde"

Il est donc logique de considérer que le point où se trouve Einstein, sur la voie ferrée, est en mouvement.

Et les photons, eux, qu'ont-ils à voir avec cela ?

Certes, le son, étant un mouvement vibratoire des molécules de l'air, dépend, lui, du déplacement de la Terre. De la même façon que la tasse de café qui se reverse dans le train ira sur les genoux du maladroit. En physique, cela a un nom : transfert d'énergie cinétique. Le caillou qui tombe par les fenêtres du train ou du haut du mat du bateau, reçoivent tous deux de l'énergie cinétique de la main de celui qui les lâche.

Mais, jusqu'à ce jour, personne n'a osé construire de théorie allant prétendre que l'on transférerait de l'énergie cinétique à un photon.

Il en résulte une imposture : l'observateur, s'il est bel et bien au milieu des deux éclairs, si les éclairs sont bel et bien simultanés, ira en se rapprochant de l'un des deux signaux, à cause de la non-immobilité de la Terre. Il ne les percevra donc pas de façon simultanée. Ces pseudo expériences à la mode Einstein sont de parfaites escroqueries. Personne ne les a vérifiées ( les soi-disant expériences "prouvant" la Relativité ne sont jamais les "expériences de pensée" les fondant.)

Pour reprendre ce qui a déjà été dit, la lumière se déplace à c = 299 792 458 (m s-1). En un temps t1, l'éclair1 a parcouru c t1. Donc une distance ct1. Pendant ce temps t1, l'observateur n'a pas pu rester immobile. Il a donc effectué un mouvement, une translation. Schématisons sa vitesse par un vecteur rectiligne S. Il a donc parcouru une distance t1 fois S quand il reçoit l'eclair1. Cela peut se résumer par un triangle dont les trois sommets sont O1 (pour observateur simultané à l'éclair), E1 pour le lieu d'émission de éclair1, et O2 pour le lieu où l'observateur perçoit l'éclair.

Si M est la moitié de la distance qui sépare les deux éclairs sur la voie de chemin de fer, ce triangle a pour côtés : M, ct1, St1.

Il en va de même pour l'autre éclair : il définit un autre triangle dont les côtés sont M, ct2, St2.

On voit donc bien que des éclairs simultanés ne seront pas perçus simultanément. (A moins, bien évidemment, que, rareté, le vecteur translation de l'observateur ne soit dans le plan perpendiculaire à l'axe voie ferrée)


Qu'a Einstein à nous dire à ce propos ? Rien ! Comme tous les immobilistes (qui sont en fait des empiristes semi solipsistes), il ne prend aucune précaution particulière quant au facteur "translation de la Terre" dans son raisonnement. Ce qui serait vrai, en première approximation, pour le son ou pour un ballon de rugby, le Génie du 20° siècle l'extrapole sans sourciller à la lumière. Et les "pointures" de l'époque n'ont pipé mot ? Quelle étrangeté ! A moins que comme pour l'affaire Cantor, les archives aient oublié la présence des opposants, car quel étudiant apprend l'existence de Kronecker par les enseignants qui leurs font réciter les Aleph et Deug 2 de math ?

Si je reçois deux photons au même moment, cela signifie, bien au contraire, qu'ils ont été émis à des distances différentes de moi (depuis le repère Terre).

En effet, pour faire un raisonnement par l'absurde : construisons une discothèque circulaire. Tout autour de la piste se trouvent des spots lumineux. Je suis au centre, à 3 mètres des spots. Ils émettent un flash.

En 10 milliardièmes de seconde(1E-8 = 3/3 E8), le flash de chacun des spots parvient au centre. Oui, mais quel centre ? : le centre du "cercle" défini à l'instant de l'émission. Mais ce centre ne coïncide pas avec l'endroit où se trouve maintenant le centre, 10 milliardièmes de secondes après.

J'ai moi-même suivi la translation de ce centre : je me suis approché de la lumière émise par les spots de l'un des côtés. Et, de la même façon, je me suis éloigné de la lumière des spots de l'autre côté.

Voilà ce que néglige Einstein ! (Je ne peux même pas dire "prétend négliger" : il n'argumente à aucun moment, d'aucune façon sur la façon dont la Terre et son mouvement propre pourrait jouer un rôle.

Pour autant, l'escroquerie est complète à cette étape, car, pour fonder son observation chemindefferesque, il lui serait obligatoire de préciser le lien qu'il fait entre jet de caillou et émission de lumière : il lui est interdit de faire une analogie totale avec un phénomène connu, analysé - le transfert d'énergie cinétique - par un transporteur (qu'il soit bateau, train ou planète) sans préciser, dès le début, de quelle nature est cette analogie. C'est une escroquerie intellectuelle de laisser le lecteur dans l'ignorance avec une poudre de perlimpinpin et un nuage de fumée pour masquer le véritable problème.

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Einstein, n'a même pas eu l'honnêteté intellectuelle pour revenir sur sa théorie lorsqu'il est apparu, dans les années 20 du 20° siècle, que le Soleil orbitait dans la Galaxie à une vitesse de 250 km par seconde ( ses partisans nous bassinent toujours sur le fait que 30 km par seconde représente 10 000 fois moins que la vitesse de la lumière. Ils font moins les malins [la plupart d'ailleurs l'ignorent] quand on leur représente que 250 km s-1 est 1200 fois plus petit que c : quand la lumière parcourt 1200 km, nous sommes, nous sur Terre, à la suite du Soleil, entraînés à faire plus de 1 kilomètre. Et, il s'agit là d'un minimum : le centre de la Galaxie Voie Lactée est en translation (avec son trou noir qui avance : "quoi ! dit le relativiste ! un trou noir qui bouge ? c'est formellement interdit !")

Il n'y a rien d'étonnant à ce que le fondateur de l'imposture immobiliste soit celui qui est allé chercher dans sa cave un facteur abracadabra pour refuser l'expansion possible de l'Univers : en tant qu'apprenti Bellarmin, l'idée de mouvement lui était insupportable. Il fallait que rien ne bouge : son refus de l'absoluité (dont il a poussé le délire jusqu'à vouloir nier l'absoluité de l'accélération dans l'ascenseur de la Relativité générale) cachait en fait un refus du mouvement. Ces conservateurs sentaient le sol de leurs pieds confortables trembler : il n'est pas indifférent, loin de là, que 1905 soit concomitant de la première Révolution russe et de quantité de mouvements sociaux. Le Talon de fer de Jack London est la réponse littéraire à ces mouvements, comme ces théories fumeuses - la Relativité, les Aleph cantoriens prouvant l'infini, les non-causalités de Copenhague - sont les réponses idéologiques à ces mêmes mouvements : la bourgeoisie laïque matérialiste et voltairienne avait nourri en son sein un monstre révolutionnaire, il s'agissait maintenant de préparer le terrain à la violence physique fasciste. Heisenberg, le père incapable de la bombe atomique nazi l'écrivait encore après guerre " Personne ne sait ce que l'avenir nous réserve, ni quelles sont les puissances spirituelles qui gouverneront le monde, mais il nous faut commencer par croire à quelque chose et vouloir quelque chose. (…) Nous voulons que notre jeunesse, en dépit du chaos extérieur, grandisse dans l'atmosphère spirituelle de l'Occident, et qu'elle puise aux sources de la force qui a fait vivre notre continent pendant plus de deux mille ans. Ne nous soucions qu'en second lieu des points de détail ! Il n'est pas d'une importance primordiale que nous nous déclarions pour l'enseignement humaniste ou pour un autre système scolaire. Mais en tout cas et avant tout autre chose, nous devons nous déclarer pour l'Occident !" p. 78 Werner Heisenberg "La nature dans la physique contemporaine" (traduction : Ugné Karvelis et A. E. Leroy) Gallimard Idées n.r.f. 1962

Heisenberg

Précisons pour les naïfs que le "chaos extérieur" ne pouvant être dans son esprit que les luttes de libération nationale mises en œuvre contre l'exploitation impérialiste des patrons de Heisenberg et leurs collègues des démocraties occidentales. Il serait souhaitable de revenir sur ce personnage : la majeure partie des délires du dernier numéro de Science et Vie sur l'information replaçant la science se trouvait déjà chez lui. Lorsqu'il reprend la Relativité d'Einstein et la popularise en Allemagne (j'ai lu il y a un certain temps [où ?] qu'il l'aurait fait auprès de la hiérarchie nazie) il est dans son rôle. Il travaille pour les intérêts qu'il défend. Certes, c'est ce Heisenberg qui se vante dans son livre de sa participation aux combats de 1919 ( quand ont été assassinés Rosa Luxembourg et Karl Liebknecht ), c'est lui qui sous couvert de leçon de physique fait un cours d'idéologie fasciste occidentale, mais les idées qu'il défend, concernant la science (on ne peut plus appeler ça des théories) sont les mêmes que Einstein : la défaite du matérialisme a été totale et la victoire de 1905 pour la relativité a sonné le glas d'une époque : celle de la bourgeoisie matérialiste. Le combat que vous, Monsieur Bricmont, et vos collègues, entreprenez est la suite d'une défaite profonde qui remonte à un siècle. Il ne sera pas possible de briser l'offensive idéologique de la bourgeoisie impérialiste (qu'elle soit américaine, européenne, japonaise ou chinoise) en se battant le dos au mur comme je constate que vous le faite jusqu'à présent. Il faut passer à l'offensive. Et l'offensive consiste à faire le ménage dans son camp : on ne peut pas être matérialiste et relativiste, comme on ne peut pas être matérialiste historique et déiste. Alan Sokal et vous avez entrepris un combat contre les post modernistes, je salue ce combat ! Ces gens étaient le pendant idéologique de l'offensive de la bourgeoisie française poussant les rebelles sur les trottoirs comme SDF (hier dans le journal Libération les cinéastes Dardenne évoquaient à nouveau le cas d'un d'eux). Lorsque les nazis sont arrivés en 1933, le parti communiste allemand était formé de chômeurs (les trotskistes pire encore), les travailleurs organisés étaient socialistes : leurs chefs, Ebert en tête, avaient depuis 1918 poussé les rebelles dehors. Dans le dernier quart du 20° siècle, pour accompagner la mise au chômage, la mise à la rue et bientôt la mise à mort (les plans de non-remboursement médicamenteux ne sont pas une médecine à deux vitesses, ils organisent la cessation des soins efficaces pour les pauvres), pour accompagner cette offensive anti-sociale, il fallait une couverture idéologique : les misérables commerçants, les valets déguisés de la bourgeoisie française s'en sont chargés. Ils ont rencontré Sokal sur leur route. Vous l'avez rejoint. Les brights (?) dont j'ai découvert l'existence hier sur le net vous ont-ils rejoint ? Car il s'agit maintenant de mener une contre-offensive scientifique contre l'offensive obscurantiste de la bourgeoisie déliquescente qui sent le terrain (et la planète) s'effacer sous ses pas.

Ils subventionnent l'UIP pendant qu'ils achètent à tout va tout le sud le l'Amérique du sud, pour s'y réfugier de nos colères. Il n'est pas indifférent que Voltaire ait popularisé Newton en France, préparant la Grande Révolution : faire bouger la Terre par des équations scientifiques purgeait les cieux de ses "Pères Noël" féodaux. Il s'agit de purger la science de tous les reliquats idéalistes, il s'agit de reprendre le combat des Boltzmann, des Galilée, des Newton, il s'agit d'une entreprise de réhabilitation de ce que les cléricaux appellent péjorativement la science classique.

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Il n'y a pas de science classique. Il y a la science et les foutaises. Autour de la science, il y a des hypothèses provisoires, éventuellement des modèles, mais seul est scientifique ce qui est matérialiste, objectif, existant absolument en dehors de ma perception ; tout le reste n'est que foutaises.

Dans l'attente d'une réponse de votre part, je vous prie d'agréer mes meilleures salutations absolues.

Yanick Toutain


Copies aux auteurs de "Intrusion.." dont j'ai trouvé

les mails

Hervé Chuberre chuberre@enssat.fr

Jean-Pierre Garcia Jean-Pierre.Garcia@u-

bourgogne.fr

Valérie Lécuyer VJ.LECUYER@wanadoo.fr

Marc Silberstein edition@syllepse.net

Si vous le pouvez, veuillez transmettre copie aux autres auteurs. Merci.

Jacques Bouveresse

Jean Dubessy

Michel Kerszberg

Guillaume Lecointre

Ian Plimer

Yvon Quiniou

Patrick Tort

François Vernotte

Copies à Alan Sokal, Jean Marc Sciappa, Olivier Hérent,

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