mercredi 15 octobre 2008

Une analyse critique de l'absurde chapitre 7 de "La relativité" de Einstein

en cours d'édition

Une analyse critique de l'absurde chapitre 7 de "La relativité" de Einstein

Par Yanick Toutain
10 9 06

Quand, après plusieurs décennies de "croyance en la relativité", l'auteur a voulu arithmétiser la fonction gamma de Einstein - fonction qui prévoit quel sera le "ralentissement du temps" - il s'est aperçu que cela était impossible. Le doute qui a suivi l'a amené à rajouter un triplet, un troisième frère, au "problème des jumeaux"... Plus rien ne fonctionnait. La relativité apparaissait sous son jour le plus cru : une absurdité complète. La lecture d'articles d'opposants relatant les VERITABLES expériences "prouvant" la relativité a achevé d'emporter la conviction rationnelle. Il ne restait plus qu'à découvrir qu'une lecture attentive de l'ouvrage d'A. Einstein "La relativité" révélait l'inintelligence complète du prétendu génie du 20° siècle, qui se mêle les pinceaux dans ses arguments, qui relie des propositions sans aucun lien logique, qui énonce des "vérités" tirées de son sac à malice, qui procède par allusions, par petites piques subreptices ... et tout cela sans jamais une seule fois affronter ouvertement son véritable adversaire : Newton et sans prendre une seule fois la peine d'avancer le moindre petit début d'argument contre la thèse principale de Newton : le vide.

Après avoir annoté sur une période de plusieurs mois mon exemplaire de l'ouvrage, voici maintenant, phrase après phrase, mot après mot, la critique détaillée de l'ouvrage qui a précipité la physique - et la philosophie - dans l'obscurantisme crétinisant du 20� siècle
.
Le texte original est complet

e texte original est en marron, les critiques sont en bleu foncé.



L'INCOMPATIBILITÉ APPARENTE DE LA LOI DE LA PROPAGATION DE LA LUMIERE ET DU PRINCIPE DE RELATIVITÉ 7





"On trouve difficilement en Physique une loi plus simple que celle de la propagation de la lumière dans le vide."




On remarque pour commencer que, quand ça l'arrange, le génie admet l'existence du vide. Il n'en sera pas du tout de même plus loin.



Le début est d'autant plus extraordinaire que la "propagation de la lumière dans le vide" est une loi "simple", une record(wo)man de la simplicité ... alors que ... pendant des centaines de pages... des dizaines d'années Einstein va combattre ce "vide" qu'il abhorre ! Rappelons seulement qu'il est l'inventeur de l'inénarrable "répulsion du vide" - invention fumeuse qui va l'amener pendant presque 20 ans à nier les remarquables observations de Hubble et de ses collègues !




"Tout écolier sait ou croit savoir que la lumière se propage en ligne droite avec une vitesse de 300 000 km/s."




Il nous prend à nouveau pour des idiots : d'entrée nous sommes mis en "compétition avec des écoliers. Ceux-ci (pas nous ?) "savent" que la vitesse de la lumière est de 300 000 km/s ( en fait 299 792 458 m/s )... mais, le grand génie précise aussitôt que nos compétiteurs écoliers qui sont sensés nous en remontrer, en fait, "croient savoir".



Soyons logiques (c'est le minimum face à un génie !) : s'ils croient savoir c'est qu'ils ne le savent pas. Donc que leur conviction est erronée. Si quelqu'un croit savoir que les nougats poussent dans les champs dans la campagne de Montélimar, il croit le savoir parce que nous tous (ainsi que presque tous les écoliers) savent que les nougats ne poussent nulle part !



Pourquoi donc Einstein écrit-il ce stupide "croit savoir" ? A moins qu'il ne veuille argumenter subtilement (ce n'est pas son habitude) en allant prétendre que ceux qui savent que la vitesse de la lumière approxime 300 000 km/s le pensent pour de mauvaises raisons... Ils en sont convaincus mais absurdement, sur la base de faits non étayés. Mais cela, dans le cas où, néanmoins leur "croyance" serait, en réalité, en adéquation avec la réalité. Ils croiraient savoir la vérité sur la base d'arguments fallacieux.



Je crois qu'on a dépassé-là le niveau intellectuel du pauvre Albert. Son argumentation est beaucoup plus piteuse : il sème des petits virus sans grande consistance logique pour simplement affaiblir les défenses mentales de ses lecteurs : son "croit savoir" n'a de fonction que celle de DESTABILISER le lecteur moyen "Ah bon ! je crois savoir que la vitesse de la lumière est 300 000 km/s dans le vide"... "Je croyais donc savoir une fausseté ?!"



Telle est l'unique fonction de cette petit pique pernicieuse. Poursuivons :




"Nous savons en tout cas avec une grande exactitude que cette vitesse est la même pour toutes les couleurs;"




"Nous savons en tout cas..." Le malheureux ! Quels sont donc ces "cas" ?



Il y aurait des cas où la vitesse de la lumière dans le vide serait d'environ 300 000 km/s et des cas - d'autres cas - où cette vitesse serait de ... de combien ? ... de 300 000 km/s ... Il n'y a pas d'alternative, le grand génie suisso-germano-américain ne nous a pas laissé d'alternative !



Son "en tout cas" est totalement stupide, infondé, n'a aucun lien logique avec LE RESTE DE LA PHRASE.



CAR...



Il a un lien avec ce qui se trame dans son cerveau au fur et à mesure qu'il écrit son texte : rappelons que Einstein est un des pires ennemis de Newton, un des plus combatifs adversaires du vide et de son corollaire, la vitesse absolue des objets par rapport au vide.. S'il concède la notion de vitesse de la lumière par rapport au vide c'est que son cerveau retors - et celui de ses collègues de l'orthodoxie immobiliste - n'ont pas réussi à faire voler par-dessus bord cette notion de façon rhétoriquement crédible.




" Nous savons en tout cas avec une grande exactitude que cette vitesse est la même pour toutes les couleurs;"




a pour signification qu'il garde en réserve sa botte secrète. Son "en tout cas" a pour sens véritable :"je vous avais prévenue à l'avance", c'est un en tout cas qui signifie :"dans le contexte logique qui m'oblige à vous le concéder provisoirement... mais je vais y revenir !"




Il poursuit :






"car s'il n'en était pas ainsi, le minimum d'émission d'une étoile fixe ne s'observerait pas simultanément pour les différentes couleurs au moment où elle est éclipsée par son compagnon obscur."






Une "étoile fixe" !!!




Un enfant de n'importe quelle école du 21� siècle - si l'on continue à appeler écoles des lieux où la liberté pédagogique des enfants les libérera de la contrainte de l'obéissance aux orthodoxes de tous poils... un enfant du 21� siècle, donc, lisant cela, se retournera vers nous, adultes issus du 20� siècle et, ahuri nous demandera "C'est ce crétin que tous les gens du 20� siècles ont révéré comme un génie ?"




Ce sympathique enfant du 21� nous demandera à quel moment vivait Herschel qui, le premier, calcula une vitesse de déplacement relatif de notre étoile le Soleil, ce sympathique enfant du 21� siècle nous demandera quand vivaient Hubble, Lemaître et les autres qui observèrent des dizaines de galaxies qui se déplaçaient à des centaines, des milliers de kilomètres à la seconde, il nous demandera si ce petit livre précédait ou suivait ces découvertes....




"Des étoiles fixes !"




Pauvre crétin qui n'a toujours pas compris en 1935 que tout passe, tout coule - ainsi que l'écrivaient les Grecs du 5� siècle av JC !






"Par une considération analogue, se rattachant aux observations faites sur les étoiles doubles, l'astronome hollandais De Sitter a pu montrer que la vitesse de propagation de la lumière ne peut pas dépendre de la vitesse avec laquelle se meut la source lumineuse."






Le comparse de la bande Einstein Eddington - les deux escrocs de l'éclipse de 1919 - reçoit sa récompense pour sa magnifique contribution à la "relativité générale" : avoir cautionné la force répulsive du vide et avoir mis le génie en contact avec le lord anglais escroc galonné, l'usurpateur : Il méritait bien une citation dans l'opus magnifique.(cf. Hubble p. 103)




Comme ce farfelu de Sitter n'a aucune idée de ce qu'est une vitesse (pendant qu'il élucubre avec Eddington et Einstein, les vrais astronomes Hubble en tête - sont occupés à construire la carte des vitesses relatives des galaxies environnantes, à partir de leur décalage vers le rouge.), ses prétendues "analyses" d'étoiles doubles ne sont que des galéjades vaines - à moins de partir du principe que les vitesses absolues de ces dites étoiles doubles ne sont d'aucune utilité pour en comprendre les localisations et les trajectoires. Ce qui reviendrait - mais le génie accumule ce procédé amusant par son absurdité - à prouver la fin en introduisant subrepticement les conclusions à l'intérieur même de l'énoncé initial. On peut remarquer d'ailleurs, sans trop anticiper sur la description d'un point de vue scientifique - matérialiste - que toute cette bande de farfelus confondent constamment la distance entre deux objets et ... la longueur du trajet que la lumière aura parcouru, émise par le premier, pour atteindre le second. Ce distinguo est étranger à toute cette bande d'escrocs qui se gobergeait pendant que nos grands-parents, pour les nourrir, travaillaient aux champs, dans les mines, sur les mers ou dans les usines propriétés des gangsters capitalistes -véritables maîtres idéologiques de cette bande.




Poursuivons donc les galéjades du "génie" du 20� siècle :






"La supposition que cette vitesse de propagation dépend de la direction " dans l'espace " est en soi improbable."






Là.... Il faut ralentir !...




Il y a une "supposition".... Et cette "supposition" est elle-même "improbable".




Que les historiens du futur se chargent d'aller étudier la version allemande... Pour l'instant contentons-nous de la traduction - certifiée - de Maurice Solovine, ami du génie de son état.




Le farceur de Einstein a mis " dans l'espace" entre guillemets...




Cette phrase devient donc totalement incompréhensible. D'autant qu'il la termine par un gros mot "en soi" ! L'ennemi de Newton, le héraut des positivistes, le successeur de Mach, l'adversaire de ce qu'ils appellent tous "métaphysique" quand ils parlent de la réalité objective a eu une lueur d'intelligence : il sait l'espace d'une phrase prononcer le mot "en soi"...




Le comprend-il ? Ca c'est une gageure !




De plus, ils ne précise même pas clairement de quelle direction il s'agit. Parle-il de la direction de la Terre ? des étoiles doubles de Sitter (buvait-il ?) ? de la direction de la lumière ?




Et tout cela par rapport à quoi ?




En effet, la répétition permanente du mot "vitesse" par le génie MASQUE totalement le fait que ses "vitesses" sont à chaque répétition des insultes à l'héritage de Newton.




Pour Newton, il n'existe de véritables vitesses que les vitesses absolues. La bêtise du prétendu génie va se démasquer dans les lignes qui suivent.




Il va d'abord recommencer à nous prendre de haut :






"Bref, admettons que c'est avec raison que notre écolier accepte la loi simple de la propagation de la lumière avec une vitesse constante c (dans le vide)."






"Bref" Il n'a plus le temps de débattre avec nous ! "admettons" Il n'a plus non plus le temps de nous avancer des arguments. On n'a plus qu'à admettre.




D'autant que, tout à coup, voilà le (vide) qui se retrouve enfermé à l'intérieur d'une curieuse parenthèse.




"Qui croirait que cette loi simple a jeté le physicien consciencieux et réfléchi dans les plus grandes difficultés. "




L'enfant de 10 ans - fille et garçon - du 21� siècle, ne verra aucune difficulté là ! La lumière franchit 299 792 458 mètres d'espace vide, dans le délai d'une seconde. "Où est la difficulté ?" se demanderont les futurs lecteurs - âgés de 10 ans - de ce texte (oui, car la chute prochaine de l'orthodoxie - et de sa maîtresse la Bourse - aura pour conséquence de permettre le développement de centaines de millions de petits génies (des vrais - eux - ) dont les capacités mentales leur permettront de lire Newton à partir de 8-9 ans (en même temps qu'ils apprendront les dérivées, les intégrales et les exponentielles... en même temps qu'ils écriront leurs premières chansons arrangées midi sur leurs ordinateurs portables)




Ces mêmes petits génies en herbe (hostiles aux herbes de Pasqua, Hassan II et doc. Gynéco réunis) comprendront que la seule vitesse existante est la vitesse des atomos et que les "autres" vitesses ne sont que les conséquences des détours faits par les atomos pour parcourir une certaine distance. Mais quittons tristement ces anticipations enthousiasmantes pour revenir à la grisaille du cerveau einsteinien et à ses aberrations rédactionnelles : Le génie va nous décrire les difficultés intellectuelles de ses collègues positivistes





"Voici comment elles ont surgi.


Le phénomène de la propagation de la lumière doit naturellement, comme tout autre phénomène, être rapporté à un corps de référence rigide (système de coordonnées). "





On va l'admettre... Quand bien même le 21� siècle aura découvert que l'étalon le plus simple est précisément le photon, sa trajectoire, sa vitesse... Étalon bien plus productif que son amusant "corps rigide" (à qui pense-t-il quand il prononce de terme étrange ?)






"Nous choisissons comme tel notre talus et nous supposons que l'air au-dessus de lui a été enlevé. "






Un talus comme corps rigide ? Admettons encore... J'ai davantage l'habitude des règles, des rapporteurs, des équerres ... acceptons néanmoins...ne chipotons pas...




Quand à "l'air enlevé", j'appelle ça le vide.. mais, bon...






"Supposons envoyé le long du talus un rayon de lumière qui se propage par rapport à lui avec la vitesse c. "






QUOI ?....... QUOI !!!!




Ho là ! Tu dérailles Albert !




Tu pètes une durite ! tu grilles un circuit ! tu as complètement disjoncté !




Tu as écrit




"un rayon de lumière qui se propage par rapport à lui avec la vitesse c. "






C'est complètement n'importe quoi !




Tu avais écrit plus haut - et nous sommes d'accord avec le malheureux écolier que tu as fait tourner en bourrique, comme à l'inscription exacte que tu as gravé de tes mains dans la pierre : je fais un copier-coller :




"Tout écolier sait ou croit savoir que la lumière se propage en ligne droite avec une vitesse de 300 000 km/s."






Et cela suivait :




" On trouve difficilement en Physique une loi plus simple que celle de la propagation de la lumière dans le vide. "






"Dans le vide" ! tu sais lire ?




Si la lumière, qui se propage à une vitesse c par rapport au vide, se propage AUSSI à une vitesse c par rapport à un talus... pour n'importe quel individu doué de raison (j'exclus les orthodoxes qui pullulent sur Internet et en particulier dans ces news groups d'astrophysique) cela a pour conséquence LOGIQUE que le talus et le vide ONT LA MEME VITESSE.




Or, comme jusqu'à plus ample informé, le vide est immobile, cela signifie donc que tu nous parles d'un TALUS IMMOBILE !




C'est ça la géniale invention, la fabuleuse découverte du 20� siècle, le TALUS IMMOBILE !




C'est à cette absurdité que croient tous les opposants au matérialisme qui sévissent, censure à la main contre les curieux, contre les matérialistes, contre les scientifiques.




Ce sont les sectateurs du talus immobile qui nous attaquent constamment ?




A moins qu'il n'y ait encore une embrouille, un tour de perlimpinpin comme à ton accoutumé...




Poursuivons :






"Supposons encore que notre wagon se déplace sur la voie ferrée avec la vitesse v et dans le même sens dans lequel se propage le rayon de lumière,"






Résumons : nous avons un talus immobile (il n'est pas précisé si le talus est extra terrestre, extragalactique ? ou si la Terre aura cessé son orbite par rapport au Soleil, si le Soleil aura cessé son orbite par rapport à la Voie Lactée)




Le long de ce talus - immobile - sur une voie ferrée, avance un train.




Ce train a une vitesse v.




Une vitesse v .... Par rapport à la voie ferrée et donc au talus, certainement.




(La vitesse de la voie ferrée étant logiquement ÉGALE à celle du talus... on a AUSSI récupéré les sectateurs de la VOIE FERRE IMMOBILE ! dur ! dur !)




Ce train, qui a une vitesse v par rapport à la voie ferrée et au talus, a donc AUSSI une vitesse v par rapport ... AU VIDE !!! (qui est tout aussi immobile que le talus, que la voie ferrée de Einstein !)




Newton, revenu parmi nous, fait alors remarquer que cette vitesse v du train, étant une vitesse par rapport au vide - immobile - est donc une VITESSE ABSOLUE !




Ce qui a pour conséquence simple que le rapport c/v donne ce que j'ai appelé chronie (en 2000) : le train va Xhi = c/v fois moins vite que la lumière. Ce qui indique la quantité de détours que les photons-atomos qui sont les briques de la locomotive, des wagons et des passagers doivent faire.




On a un rapport absolu entre la vitesse absolue de la lumière et la vitesse absolue du train spécial (spécial car roulant sur une voie ferrée immobile : ce n'est pas fréquent !)




Le génie précise, dans la fin de sa phrase :






"mais, bien entendu, avec une vitesse beaucoup plus petite que ce dernier. "






Qu'est-ce qu'il en sait ?




Qu'est-ce qu'il connaît de la vitesse des trains spéciaux qui roulent sur des rails immobiles près des talus immobiles ? Il en a déjà vu ?






"Nous demandons maintenant : "






Farceur ! V'la Louis 14 qui nous r'vient ! L'Etat c'est NOUS !




NOUS DEMANDONS ...




Oui sire ..




Posez votre question...




Nous sommes tout ouie ...






"Quelle est la vitesse de propagation du rayon lumineux relativement au wagon? "






Bah... c'est simple ...




Le rayon fait c mètres en une seconde...




Le train fait v mètres en une seconde




Ils vont dans la même direction : c'est écrit au-dessus :




" dans le même sens"






Si la question est : quelle est la distance entre le photon et la locomotive, après une seconde, la réponse est




c - v




Il n'y a aucun mystère.




"Il est facile de voir que la considération du chapitre précédent peut ici être appliquée, car l'homme qui se déplace le long du wagon du train en marche et dans le même sens que ce dernier joue le rôle du rayon lumineux. Sa vitesse W relativement au talus est ici remplacée par la vitesse de la lumière relativement à ce dernier; w est la vitesse de lumière cherchée relativement au wagon, dont. la valeur est




w = c - v.




La vitesse de propagation du rayon lumineux relativement au wagon est, par conséquent, plus petite que c."





Enfin ! Il y aura au moins un point sur lequel nous serons d'accord !


Puisque le train va dans la direction du photon, l'écart entre le photon grandit... Mais moins que si le train, inversant son moteur, repartait à reculons !





"Mais ce résultat est en contradiction avec le principe de relativité exposé au chapitre 5. "





OUUUUUUUAAAAAA ! le farceur !




Un résultat scientifique (obtenu certes avec un talus immobile et une voie ferrée tout autant immobile certes) en contradiction avec un principe !




Abandonnons un tel principe !




Mais c'en est trop !








NOTRE PATIENCE EST A BOUT




R�CR�ATION !!!!!!!!











Cette sympathique récréation finie, nous pouvons reprendre le fil du discours incohérent du génie :






"D'après ce principe, la loi de la propagation de la lumière"

















"D'après ce principe, la loi de la propagation de la lumière dans le vide devrait, comme toute autre loi générale de la nature, être la même, soit qu'on choisisse le wagon, soit qu'on choisisse la voie ferrée comme corps de référence."






Et c'est reparti ! Le charabia recommence !




La "loi de propagation de la lumière dans le vide" ? Ce n'est pas une loi !




Dans le vide, les photons se déplacent en parcourant 299 792 458 mètres à chaque seconde. Il n'y a pas de loi ! Sauf peut-être dans le cerveau malade des positivistes qui s'interrogent encore au début du 20� siècle sur l'existence réelle du monde. Il est intéressant, là, d'aller jeter un coup d'�il sur un autre ouvrage du génie de la physique "L'évolution des idées en physique" qu'il a écrit de concert avec son ami Infeld.




Il y écrit :




"La science n'est pas une collection de lois, un catalogue de faits non reliés entre eux. Elle est une création de l'esprit humain au moyen d'idées et de concepts librement inventés" (p. 274)




... plus loin :




"Mais relier chaque instant du temps à un nombre, en employant une horloge, regarder le temps comme un continuum unidimensionnel, cela est déjà une invention" (p. 275)






Et, juste après :




" La physique a commencé réellement par l'invention de la masse, de la force et d'un système d'inertie. Tous ces concepts sont des inventions libres (...)"






Donc pour lui, la loi de la propagation de la lumière dans le vide à 300 000 km/s serait une invention libre, une création de l'esprit humain.




Que l'unité seconde ne soit pas utilisée à l'autre bout de l'univers par d'autres intelligences, non plus que le mètre, personne n'en disconviendrait - si un malheureux avait l'idée subreptice d'en soulever l'argument [sur Internet les arguments partent plus vite que les mains de Lucky Luke ] - Il n'en reste pas moins que la relation distance durée est évidemment la même dans tout l'Univers !




Rien de sérieux, rien de scientifique, ni fait, ni raison ne permet de supposer qu'il n'en soit pas ainsi ! La vitesse de la lumière n'est pas la libre invention d'un concurrent de Einstein.




Il n'aurait eu lui-même aucune chance d'inventer quelque idée que ce soit pour se substituer à cette vitesse de la lumière.




Quant au fond de ses pseudo arguments : Qui va nier que quel que soit l'observateur, sa vitesse, la vitesse de la lumière est la même. Mais entre le fait de le savoir et le fait de le mesurer dans les mêmes conditions, il y a une frontière que l'escroc franchi allègrement. Que Schumacher roule à 250 km/heure, cela n'implique pas que distance entre lui et tous les observateurs s'accroisse de la même quantité.




Que ce soit le cheminot ou la vache du talus, les deux connaissent la vitesse de la lumière dans le vide : là n'est pas le problème !









"Mais ceci paraît, d'après notre réflexion, impossible. "






Ah bon ?






"Car, si tout rayon lumineux se propage, relativement au talus, avec la vitesse c, la loi de la propagation de la lumière devrait par là même être différente relativement au wagon, ce qui est en contradiction avec le principe de relativité."






Il recommence : Quel est donc ce principe de la relativité qu'il invoque et qui serait bafoué ?




D'autant plus que ce charlatan ne pense même pas à faire le véritable distinguo : le train avance à une vitesse v, mais la vache au bord du talus doit attendre que les photons lui indiquant la trajectoire du train (les images de la locomotive faisant le trajet locomotive yeux de la vache)




Si le train a pour vitesse "un cinquantième de la vitesse de la lumière", quand la locomotive parcourt une unité de longueur, la lumière en parcourt cinquante. Où serait le problème?




Quand la locomotive aura parcouru cent unités, l'image qui sera la sienne repartira dans l'autre sens pour retourner jusqu'aux yeux de la vache. Et pendant le trajet de l'image vers la vache, la locomotive parcourra deux unités de longueur supplémentaires.




Où est le problème ?




Où serait le problème ? Monsieur le génie du 20� siècle ?




Un matérialiste ne voit là AUCUN PROBLÈME !




Que je marche vers le nord, vers le sud, vers l'ouest ne change en aucune manière la vitesse de Schumacher !




Mais, là il faut s'accorder, monsieur le génie... Serait-ce que vous auriez glissé une définition hypocrite de la vitesse dans notre discussion - sans l'avoir dit ?






"Le mouvement absolu est la translation des corps d'un lieu absolu dans un autre lieu absolu, et le mouvement relatif est la translation d'un lieu relatif dans un autre lieu relatif;




ainsi, dans un vaisseau poussé par le vent, le lieu relatif d'un corps est la partie du vaisseau dans laquelle ce corps se trouve, ou l'espace qu'il occupe dans la cavité du vaisseau; et cet espace se meut avec le vaisseau;




et le repos relatif de ce corps est la permanence dans la même partie de la cavité du vaisseau.




Mais le repos vrai du corps est la permanence dans la partie de l'espace immobile, où l'on suppose que se meut le vaisseau et tout ce qu'il contient.




Ainsi, si la terre était en repos, le corps qui est dans un repos relatif dans le vaisseau aurait un mouvement vrai et absolu, dont la vitesse serait égale à celle qui emporte le vaisseau sur la surface de la terre;




mais la terre se mouvant dans l'espace, le mouvement vrai et absolu de ce corps est composé du mouvement vrai de la terre dans l'espace immobile, et du mouvement relatif du vaisseau sur la surface de la terre;




et si le corps avait un mouvement relatif dans le vaisseau, son mouvement vrai et absolu serait composé de son mouvement relatif dans le vaisseau, du mouvement relatif du vaisseau sur la terre, et du mouvement vrai de la terre dans l'espace absolu.




Quant au mouvement relatif de ce corps sur la terre, il serait formé dans ce cas de son mouvement relatif dans le vaisseau, et du mouvement relatif du vaisseau sur la terre.




En sorte que si la partie de la terre où se trouve ce vaisseau avait un mouvement vrai vers l'est, avec une vitesse divisée en 10010 parties : que le vaisseau fut emporté vers l'ouest avec 10 parties de cette vitesse; et que le pilote se promenât dans le vaisseau vers l'est, avec une partie de cette même vitesse : ce pilote aurait un mouvement réel et absolu dans l'espace immobile."






Ce texte lumineux n'a pas été écrit en 1905 par ce sombre crétin de Einstein, il est bien plus ancien , deux siècles ! Il est l'�uvre d'Isaac Newton !




On voit là l'écart entre le positiviste machien héros de la bourgeoise dégénérée du 20� siècle et le matérialiste - intellectuel de la bourgeoisie innovante du 18� siècle.




Le texte de Newton répond par avance à toutes les misérables arguties du nain Einstein.




Qui va maintenant nous vendre sa quincaillerie :






"En présence de ce dilemmne [sic] il parait inévitable, ou bien d'abandonner le principe de relativité, ou bien la loi simple de la propagation de la lumière dans la vide. "






Ah ouais ?






"Le lecteur qui a suivi attentivement notre exposé jusqu'à présent s'attendra certainement à ce que le principe de relativité, qui apparaît à l'esprit si naturel, si simple et presque inéluctable, soit maintenu, mais que la loi de la propagation de la lumière dans le vide soit remplacée par une autre plus compliquée, qui soit compatible avec le principe de relativité."






Non non pas du tout ! Nous, on a lu Newton... Tout est clair, tout est simple : il suffit de rapporter tous les mouvements à l'espace absolu et tout se simplifie...






"Mais le développement de la physique théorique a montré que ce chemin n'était pas praticable. "






Escroc !






"Les recherches théoriques extrêmement originales de H. A. Lorentz sur les phénomènes électrodynamiques et optiques présentés par les corps en mouvement montrèrent en effet que les expériences dans ce domaine conduisent nécessairement une théorie des phénomènes électromagnétiques qui a comme conséquence inévitable la constance de la vitesse de la lumière dans le vide."






Un petit coup de fayotage ne fait de mal à personne... surtout aux incapables ...




De Sitter a eu le sien, voilà pour Lorentz... Eddington devra attendre..






"C'est pourquoi les théoriciens de marque étaient plutôt portés à rejeter le principe de relativité, bien qu'on n'ait pu trouver aucune expérience qui le contredise."






Mais de quoi parle-t-il ? Sait-il seulement que Newton a existé ?




Probablement : Il a écrit au chapitre 4 : "Ce n'est que pour les systèmes de coordonnées galiléens que les lois de Galilée-Newton sont valables"




Au moins il connaît le nom !




Mais il est clair que dans l'hypothèse où il l'aurait lu, IL N'A RIEN COMPRIS !




Newton est partisan de Lucrèce, du vide et des atomos, des lieux absolus dans le vide, des vitesses absolues...






"C'est ici qu'intervint la théorie de la relativité."






Le gourou sort de sa grotte préhistorique vêtu de sa peau de bête la plus mystérieuse pour impressionner les membres de sa tribu, à l'appel du chef fainéant du groupe...






"Par une analyse des notions physiques de temps et d'espace, elle montra qu'en réalité"






En réalité ?






"il n'y a aucune incompatibilité entre le principe de relativité et la loi de la propagation de la lumière et que, tout au contraire; en maintenant fermement et systématiquement ces deux principes on arrive à une théorie logique qui est à l'abri de toute objection."






Autant le dire !






"Nous appelons cette théorie, pour la distinguer de la théorie plus générale que nous traiterons plus loin, " Théorie de la relativité restreinte ", dont nous allons exposer les idées fondamentales."






Résumons : Newton n'a pas existé, Démocrite n'a pas existé, Epicure n'a pas existe, Lucrèce s'est suicidé aidé par Saint Jérôme avant d'avoir écrit quoi que ce soit...




Les atomos ? késako ?




L'espace vide et immobile ? circulez




La notion de vitesse absolue ? ne jamais répondre à l'argument, cela ferait réfléchir les étudiants ...




Le bilan est effarant : Il prépare le terrain pour son délirant ralentissement du temps..




Il invente un principe de relativité galiléen dont Newton a balayé toute cohérence possible et construit un édifice fantasmatique dépourvu de toute espèce de logique.




Et certains y croient encore !












Le chapitre 8 est aussi idiot...





fin

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