jeudi 15 mai 2008

SUR ABIDJANTALK : REPONSE A UN COLLABO DE FRANCE A FRIC QUI CRAINT UNE "INVASION DE LA COTE D'IVOIRE"

Avant que je lui réponde,

Eburneen avait écrit sur abidjantalk.com :
Voilà qui est clair: une armée obéit aux ordres. Elle ne crée pas de syndicats pour réclamer quoi que ce soit. Imaginez-vous que le pays soit attaqué par un autre pays voisin et que le syndicat des militaires veuille d´abord améliorer la condition de vie de leurs éléments avant de défendre le pays. Dans ce cas, on peut déjà oublier la notion de défense du pays.
Par ailleurs, qui dit syndicat, dit droit de grève pour rélcamer quoi que ce soit. Et les ivoiriens savent désormais ce à quoi mène une grève militaire.
Ma position est clair: Au niveau de la Gendarmerie Nationale de CI, je banis tout forme de syndicat. On obéit ou on ne fait pas partie de ce corps.
Parole du Commandant sup. de la Gendarmerie Nationale de CI !!!- Eburneen


"Imaginez-vous que le pays soit attaqué par un autre pays voisin"
Il est aveugle et sourd.
L'image “http://www.defense.gouv.fr/var/dicodrefonte/storage/images/media/images/ema/cote_d_ivoire/dispositif_en_rci/732009-2-fre-FR/dispositif_en_rci_small.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

Une armée qui ne bronche pas quand son pays est sous le contrôle d'une armée d'occupation... ça ne s'appelle plus une armée.... ça s'appelle une milice...

UNE MILICE SUPPLETIVE !

La prétendue armée de Côte d'Ivoire n'existe pas, elle n'a jamais existé. Depuis 1961 et la guerre secrère que mène la France contre le continuent africain, toutes les prétendues "armées "africaines ne furent que des forces compradores supplétives. Identiques aux milices qui aidaient les nazis en France en 1942.
Les rares fois où des ÊTRES HUMAINS sauvèrent l'honneur de l'Afrique, comme le glorieux Thomas Sankara (un salut à ses proches qui perpétuent sa mémoire), ils sont assassinés.
[La révolution française extradira Guy Penn vers le Burkina Faso pour y être jugé au Nuremberg de l'Afrique avec son complice Compaoré]
GLOIRE AU MILITAIRE PATRIOTE THOMAS SANKARA
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HONTE AUX MILICIENS LARBINS DE CRASSUS BOLLORE ET DE LA FRANCE A FRIC !

Ceux qui s'opposent à la construction de syndicats dans les milices africains appelées "armées nationales" sont les porte-paroles de la France à fric :!
Ils veulent empêcher les résistants de s'organiser et de défendre leur patrie contre les pilleurs venus de France !

Honte à eux !!

Pour l'aveugle et sourd Eburneen, je lui mets un lien pédagogique ! qu'il demande à son chien d'aveugle de cliquer dessus et de lui dire ce qu'il voit :

http://www.defense.gouv.fr/ema/enjeux_defense/operations_exterieures

http://www.defense.gouv.fr/ema/enjeux_defense/operations_exterieures/cote_d_ivoire
Pour l'aveugle, encore, je mets une belle image ! Il ne la verra pas, mais, en grand format, sur le mur de son séjour, cela égayera ses visiteurs.
http://www.defense.gouv.fr/var/dicodrefonte/storage/images/media/images/ema/cote_d_ivoire/dispositif_en_rci/732009-2-fre-FR/dispositif_en_rci.jpg


Les antipatritotes qui veulent empêcher les syndicats de soldats seront considérés comme co-responsable du génocide de l'Afrique : tous ces morts qui rendent l'espérance de vie à 46 ans en Côte d'Ivoire !!!
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Post scriptum 1 : Vous nous parlez de ce milicien au service de la puissance étrangère ?
Sa biographie de collabo avec une puissance étrangère est édifiante :
http://fr.allafrica.com/stories/200708080794.html
"Avec lui le commandant supérieur de la gendarmerie nationale.

Kassaraté Tiapé Edouard, le Saint Cyrien du palais

Son parcours force le respect et l'admiration. (...)
entrer à l'université d'Abidjan ou une des
Grandes écoles de formation militaire en France. Son choix est déjà fait depuis 1963 : l'armée.














La France assure le recrutement et la formationde ses miliciens supplétifs pour ses troupes d'occupation.









Son parcours exemplaire des classes préparatoires
aux Grandes écoles lui ouvre les portes de la prestigieuse école
militaire de Saint Cyr à Quoetquidan. Il en ressort sous-lieutenant en
1975. Il choisit la gendarmerie et fait ses premiers pas à l'école des
officiers de la gendarmerie française de Melun, en France.

(...)
Depuis, le 21octobre 2005, ce fils de Tabou dirige la gendarmerie nationale."
fin de citation



Parce que, celui-là, s'il ne change pas de camp pour aider à chasser ses anciens maîtres, il finira avec des bracelets aux poings (ou aux pieds, pour lui rappeler le souvenir de ses modèles du 18° siècle qui vendaient leurs frères aux esclavagistes : lui , il perpétue la tradition !)







Post scriptum 2 : Je suis fier de plusieur choix dans ma vie. L'un d'entre eux fut de décider (sur consigne de mon organisation LCR), d'aller faire mon service militaire. (Il était facile de se faire réformer, à l'époque)
J'ai d'abord loupé tous les tests péalables (sanf le rythme) pour éviter de me retrouver élève officier (au peloton)
En août 1976, je suis entré dans l'armée française, à Epernay au 34° régiment du génie.
Mon but était de tenter de construire des syndicats clandestins.
Nous avions comme priorité de tout faire pour empêcher l'armée francaise de faire un coup d'Etat comme Pinochet au Chili (3 ans avant, en 1973).
Avant de choisir de mettre Mitterand pour écraser subtilement le mouvement populaire, la bourgeoisie française avait hésité et failli faire le choix de l'écrasement brutal du peuple.


J'avais été militant des CDA : comité des défense des appelés.
Nous réclamions l'incorporation près du domicile, un vrai salaire et la limitation à 6 mois du service.
Dans le cas de l'Afrique, il est indispensable de donner la priorité sur l'expulsion immédiate des troupes d'occupation plutôt que sur les revendications corporatistes.
Cela dit, le mot d'ordre révolutionnaire de 1000 euros pour tous les Terriens peut-être agité contre les chefs des milices collabos pro-françaises !



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